Chapitre 14

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Ma bouche elle s'ouvre mais se ferme direct quand je vois c'est qui derrière la porte. Je re vérifie le numéro mais je me suis pas tromper c'est bien le 27. Je savais même pas qu'il habitait la. Il a l'air apparemment aussi surpris de me voir et je sens qu'il s'énerve en me voyant.
Je dois avouer que notre dernière appel a du lui mettre le seum.

Bon je pense vous avez devinez mais c'est Issam qui ouvre la porte, l'autre fou du bus. Quand il me reconnaît il appel sa mère direct pour venir a la porte et s'en va sans dire un mot.

Une femme toute hnina s'approche de sa porte avec un grand sourire, ça doit être meryem.
Quand elle me voit elle me salam et me dis que c'était son fils.

Comme par hasard il m'arrive que des merdes, ya fallut que la nouvelle shab de mama soit la mère d'issam.

Je lui souris et lui dis que c'est pas grave, elle m'invite à rentrer mais je refuse poliment en trouvant une bonne excuse, je lui dis que je passais juste donner ça de la part de mama mais que avec plaisir une prochaine fois je viendrai.
Elle comprend et je rentre chez moi.
A ce moment là j'aurai bien aimé aller chez zak pour lui raconter et qu'on rigole en repensant a l'appel et quand il a menacer Issam. Mais bon on va pas ressasser le passé indéfiniment il rentrera bientôt inshaallah et on trouvera une solution pour nous deux.

Je rentre chez moi et je vois mon père en train de faire sa valise. C'est bizarre pourquoi il l'a fait.

moi : baba pourquoi tu fais ta valise ?

baba : je dois aller au bled en express Farid il a besoin de moi

moi : Farid le père de zak ?

baba : oui

OMG c'est la parfaite occasion pour aller rejoindre mon prince, mais il voudra jamais que je vienne avec lui avec les cours. Mais je demande quand même qui ne tente rien n'a rien.

moi : oh je peux venir avec ?

baba : j'y vais pas pour des vacances et t'as tes cours.

moi : zak il est parti lui

baba : jmen fou des enfants des autres

Je laisse tomber, je sais qu'il cédera pas aujourd'hui. Mais j'abandonne pas, je sais pas quand il part mais au cas où je commence a faire une petite valise moi aussi.

chronique de leyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant