Chapitre 36

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OMG IL M'A ENFIN DIT DE SA PROPRE BOUCHE QU'IL ÉTAIT VENUE DEMANDER MA MAIN !! YOUYOUYOU !! VOILÀ LE GÂTEAU SORTEZ LES COUTEAUXXX !!

désolée mais je suis trop heureuse la j'ai attendu ce moment toute ma vie, certes je me le suis pas toujours imaginé avec zak mais c'est la même chose, dans ma tête mon mari idéal était gentil, beau mais simple sur lui et surtout musulman.

Il me regarde en attente d'une réponse, faut dire que depuis qu'il me l'a dit dans ma tête c'est le chaos mais à l'extérieur j'ai pas dis un mot, je voulais lui sauter à la gorge mais il va me prendre pour une folle. Je sais pas quoi dire, on dit souvent que dans ces moments là les mots viennent tout seul mais en sah la il m'a pas vraiment demander si il voulait m'épouser, mon avis compte pas quoi ptdrrr, je décide de jouer la dessus.

moi : et tu me demandes pas mon avis ?

zak : comment ça ?

moi : bah si j'ai envie de t'épouser ?

zak : ah bah je pensais que c'est ce que tu voudrais après tous les actes que t'as fait pour moi

moi : ah oui

zak : ouais tu veux vraiment pas ?

Mais il est sérieux là ?

moi : Y'aurait peut être fallut me demander mon avis d'abord

MDR frapper moi, je fais trop genre mais bien sur que oui je veux me marier avec zak c'est la madré qui veut pas

zak : tu dahak

moi : nan wsh tu viens me khtob quand je suis dans le coma

Bien sûr que je dahak je me retiens de pas lui sauter dans les bras, il voit que je parle pas et je crois ça l'inquiète, il prend ça au sérieux ptdr

zak : smeh moi wlh je pensais que t'en avais envie et que ça allait te faire plaisir à ton réveil

moh il est trop chou, le sourire que j'essaie de cacher depuis tout à l'heure peut pas s'empêcher de sortir et de son montrer, quand il le voit zak me souris en retour.

zak : alors tu boudes plus

mdr il me connaît trop

moi : je sais pas

zak : allez viens la

A ce moment, il tend ses bras vers moi je suis assise d'un côté du lit, il est assez proche de moi mais continue de se rapprocher. Je sens les battements de mon cœur battre de plus en plus vite et quand je sens mon PAI devenir de plus en plus élevée au point que j'ai peur que ça appel une infirmière, les bras de zak sont déjà entrain de m'entourer. Je passe mes petits bras en dessous des siens et pose ma tête sur son épaule. Je sens ses muscles, c'est vrai qu'il avait commencer la muscu à la rentrée. Ça fait déjà presque un ans que je suis là, je m'en suis pas rendu compte mais c'est passer archi vite. Je vais sûrement devoir redoubler pcq la je peux dire au revoir au bac. J'ai quasi pas était là de toute l'année scolaire ptdr. Il a fallut un câlin de zak pour me rappeler mes anciens souvenirs et la vie qui m'attend quand je serai sortie de l'hôpital et rentrer chez moi.

On reste un petit moment l'un contre l'autre, on se parle pas mais on ressens chacun la respiration de l'autre, les petits mouvements qu'il fait, ... Je sens qu'il commence à enlever petit à petit ses bras, quand la poignets de la porte fait un bruits.

PANIQUE, on recule brusquement l'un de l'autre mais c'est trop tard la personne qui vient d'ouvrir la porte nous a vu..



chronique de leyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant