Le cœur de l'argent

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( Chapitre avec scène de sexe non explicite)‼️

Novembre-Décembre

Je commençais à m'habituer à ce train de vie, j'avais ma petite routine. Ce jour-là, j'avais un peu plus de temps que d'habitude, j'avais fini à 17h. J'ai dit au revoir à l'équipe et j'ai pris le métro pour rentrer. Il faisait super chaud et ça sentait la transpiration. Les gens sont sales on le sait toutes

Quand je suis sortie du métro , j'ai vu un groupe de mecs devant mon portail d'immeuble . Des gars de ma ville. L'un d'eux me regardait plus intensément que les autres. J'avais déjà flirté avec lui il y a un an, mais on avait décidé de ne plus se voir parce que nos vies étaient trop différentes. On s'était vraiment bien kiffés et, sans vous mentir, on avait une grosse attirance l'un envers l'autre c'était le seul qui m'avait touché . Quand je suis passée devant lui, je sentais son regard intense sur moi. J'ai continué d'avancer et je sens des mains sur mes hanches des que je m'apprête à ouvrir mon ascenseur . Je n'ai même pas eu le temps de me retourner qu'il m'a poussé dedans et m'a embrassé langoureusement.

Je savais que c'était lui, alors je me suis laissée faire. Je sentais ses mains sur mes fesses. Il s'appelle Brahima, c'est un grand renoi, super beau, darkskin, pas trop musclé mais bien dessiné, avec des dents blanches et des fossettes. Rien à dire. On s'est embrassés longtemps, avec la langue et tout ce qui va avec. Il a commencé à descendre sa bouche sur mon cou, et je me suis détendue encore plus. Je soupirais de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'il termine de marquer son territoire. On s'est réembrassés encore plus langoureusement, et après dix bonnes minutes, on a commencé à se parler.

Brahima : Fanny, viens, on parle sérieusement...
Moi : Brams, je te jure, ça sert à rien...
Brahima : J'ai fait le con, désolé. À ce moment-là, j'étais perdu.
Moi : De toute façon, c'est passé, toi et moi c'est terminé...
Brahima : Bah pourquoi tu m'as laissé t'embrasser comme ça alors ?

Je n'ai pas su quoi répondre...

Brahima : En un an, tu as encore plus embelli, c'est une dinguerie, Fanny.

Je l'ai juste regardé et je ne sais pas, il me plaît trop ce mec, c'est abusé en plus d'être douée au lit .

Brahima : Viens, on tente ? Tu perds quoi ?
Moi : Avec le taf et tout...
Brahima : C'est pas un problème ça, je vais t'aider financièrement, Fanny. Tu sais que je suis là.
Moi : Tu m'as déjà beaucoup aidée l'année de...
Brahima : Laisse, je t'aide si j'en ai envie. C'était pour ta mère, il n'y a rien...

J'ai directement baissé la tête avant que Brahima, avec son doigt, me redirige vers lui. On était face à face. Il posa ses mains sur mes hanches et s'avança encore plus près de moi. Je me sentais petite. C'était dingue, en un an, l'attirance que j'avais pour lui était toujours là.

Moi : Brahima...

Il déposa directement ses lèvres sur les miennes et ce fut le baiser le plus doux qu'on s'est échangé. Je vais même pas vous dire à quel point c'était sensuel. Je ne pouvais plus mentir, il me plaisait toujours autant. Quand nos lèvres se sont décollées, je l'ai juste pris dans mes bras.

Moi : Je suis épuisée, Brams...
Brahima : Je sais, princesse...

Et on s'est réembrassés mdr, franchement, on en avait envie autant lui que moi. Après ça, il m'a raccompagnée chez moi. Ma mère le connaissait, du coup il est rentré dans ma chambre. Il s'est posé sur mon lit et me fixait juste.

Je n'ai même pas perdu de temps, je me suis déshabillée et j'ai laissé ma lingerie bleue sur moi. Il était choqué, je me suis posée à côté de lui et c'est parti pour un tour. On a fait que s'embrasser, Brahima m'a mangée partout, toutes les zones que vous pouvez imaginer. Je luttais pour étouffer mes gémissements. Il le faisait trop bien, je lui ai fait du bien aussi. On se dévorait juste. J'étais assise à califourchon sur lui.