chapitre 1

6 0 0
                                    

Je savais que sa n'aurai pas du aller aussi loin. Que c'étais une erreur. Une grosse erreur. Que je regreterrais sans doute bientot. Le moment ou c'est parti en couille ? Des qu'on avait commencer a joué. le moment ou on ne pouvais plus fair demi tour ? Dés.qu'on a commencé a joué.
je vis ce type se desabiller devant moi.
Moral de l'histoir JAMAIS joué a cap ou pas cap.
Le type en question , un petit vieu chauve qui me regardait de son regard de violeur , attendant sur le lit que je vienne lui fair du bien. discretement, j'essaya d'ouvrir la poigné de la porte qui était derière moi. Aprés plusieur tentatives je du abandonner . La panique commença a monter .Comment sortir de cette putain de chambre !
Vous n'avez rien compris ? C'est normal
FLASHBACK

...............................................................................................................

Alors, sa avait commencer au debut de l'année , quand il avait commencer par devenir beau gosse . Mais pas seulement beau gosse. BEAU GOSSE !! Du style a avoir envie de se jeter par la fenetre des qu'il t'adressait un regard. Il avait commencer a avoir des abdos . Parfait et bien dessinés. Il c'etait laissé pousser les cheveux, laissant quelques meches flotter vers le ciel. "Il" étant un etre parfait répondant au doux nom de silvério. Silvério. Rien que son nom aurait pu me fair jouïr, moi jessi colbert. Etudiante aproximativement serieuse , trés approximativement belle et vraiment trés approximativement aimée par cette bande de guenon rasé a peine plus intilligent qu ' un poisson rouge drogué au cannabis, aussi appelés mes camarades de classe.
la question était donc qu'est ce que j'irai fair avec m. parfait .
la reponse étant "rien a part dans un monde parrallèle où les personnes au phisique ingrat gouverneraient le monde."
Et pourtant en se beau jeudi pendant que j' était trés occupée a faire semblant de lire (alors que je matait ses abdos de reves ) il arreta de joué au basket et vien me voir dirrectement. Je me retourna pour voir si je ne m'étais pas tromper, et non il n'y avait personne derrière moi, se qui signifiait ...qu'il se dirigeait bel et bien vers moi !

faut pas jouerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant