Chapitre 15

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C'était comme si Stu essayait vraiment de prouver le point de vue de Billy parce que même pas 24 heures plus tard, il avait sa langue enfoncée dans la gorge d'une brune au hasard.

Et le pire, c'est que tu étais là pour tout voir se dérouler. Subtilité n'était pas un terme que Stu Macher connaissait.

Oh, tu as vu ses yeux grands ouverts à la taille d'assiettes quand il t'a vu debout à une certaine distance, juste après avoir quitté l'épicerie.

Tes yeux sont devenus gonflés et rouges. Stu avait failli pousser la fille à terre pour te suivre.

"(T/p) ! Attendez-"

"Sur mon cadavre, Stuart." Tu as dit d'une voix rauque, l'émotion dans ta voix faisant sonner tes cordes vocales à vif.

Tu es rentré précipitamment chez toi avec les sacs de légumes et d'autres choses à la main.
Avant qu'il ne puisse te dire un mot de plus, tu lui as claqué la porte au nez.

Tu aurais dû le savoir, vraiment.

Vous avez redressé votre robe, récupéré votre relèvement et laissé tomber la nourriture avant de faire une ligne d'abeille vers votre chambre.

vous vous êtes laissé tomber à plat sur votre vie de matelas que vous aviez faite tant de fois auparavant, agrippant la première peluche sur laquelle vous avez mis la main et la tenant si fort que vous étiez surpris que la circulation n'ait pas été coupée à votre doigt.

Bien sûr, vous n'aviez pas eu de relation avec lui, mais vous aviez partagé un baiser et vous y aviez mis vos sentiments en bouteille. C'était normal que vous vous sentiez blessé.

Pris au piège dans votre propre petite bulle d'apitoiement sur vous-même et de colère, vous avez presque crié lorsqu'une main a doucement frotté votre bras, suivie d'un poids appuyé sur votre lit à côté de vous.

La personne vous a tiré contre sa poitrine dure, peignant vos cheveux avec ses doigts. "Marcher est un vrai idiot."

Vos yeux se sont involontairement posés sur le torse de Billy qui n'était couvert que par une chemise à demi ouverte. La légère odeur de son eau de Cologne a frappé votre nez, envahissant vos sens.

Vous avez hoché la tête.

Un fantôme de sourire jouait sur ses lèvres alors qu'il parlait calmement. "Il pense toujours avec sa bite."

Tu ne l'admettrais jamais ouvertement, mais un peu d'excitation t'a stimulé quand son pouce a effleuré à plusieurs reprises ton côté.

"Je suppose qu'il le fait." Vous avez marmonné contre le torse de Billy.

Billy continua délibérément à caresser ton côté de plus en plus bas jusqu'à ce qu'il atteigne ta jambe et t'entende aspirer une forte bouffée d'air.

Il a presque perdu toute retenue qu'il avait quand vous le regardez sous vos cils épais avec vos jolies orbes (E/C).

Il savait. Il savait que tu voulais ça autant que lui.

Billy s'est déplacé à ses côtés et d'un mouvement rapide, vous a eu sous lui avec vos mains coincées au-dessus de votre tête.

Vous haletez, sentant sa main libre plumer légèrement sur votre bras, monter et descendre pour se reposer à la base de votre gorge.

Ses flaques brunes lubriques se sont éloignées des vôtres, s'attardant sur votre cou. Billy a eu envie de laisser un suçon là-bas, une affirmation visible pour garantir à tout le monde que vous étiez à lui et à Stu.

Il voulait planter ses dents dans ta chair et la voir ensanglantée.

Il pouvait juste imaginer que tu te tortillais sous lui, criant ton nom.

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