Partie 10

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La musique se finit et le public nous applaudi. Neuvilette lâcha mon visage et ma main et se décolla de moi.

Il met sa main dans le bas de mon dos et m'amène à une table. On dîne puis la soirée ce termine.

Neuvilette me raccompagne jusqu'à chez moi et partie sans rien dire.

Quelques jours se passent sans que je ne revois Neuvilette. Cela me faisait beaucoup de peine alors que je ne le connaissais presque pas.

Un jour, j'eus comme idée d'aller le regarder à l'un de ses procès. Le public pouvait y assister alors je n'allais pas me gener pour le voir.

Je me prépara aux procès et alla dans la salle prévue à cet effet.

Je m'assis sur un siège et pus voir au loin Neuvilette dans son siège au milieu de la scène.

On appella l'accusé et mon visage devenu pâle quand j'entendis le nom de mon frère...

Il était accusé de meutre à Natlan. Il aurait fugué ici donc son jugement devait se faire ici.

Je suivis le jugement attentivement et il avait beau se défendre, il était toujours pris comme un coupable. Lorsque le jugement allait se finir et donné son verdict, je pris la parole.

Tp : Attendez, non !

Mon frère fut étonné de me voir.

Je me lève de ma place et m'avança vers le devant de la scène.

Tp : Mon frère n'a rien fait !

Neuvilette : Votre frère... ?

Tp : Anato n'a rien fait ! Il est innocent. On l'accuse à tort, je peux l'innocenter. J'ai grandis avec lui et je sais qu'il ne tuerait pas !

Anato : Tp ne te mêle pas de cette histoire laisse moi me défendre seul.

Tp : Mais tu vas être considéré comme coupable alors que tu n'as rien fait !

Anato : Qu'est-ce que tu sais sur moi ? Pas grand chose alors peut-être que je l'ai tué ?

Tp : Quoi...?

Anato : Je suis innocent mais j'accepte mon sort car je ne peux pas changer leur avis. Je suis sur que ce juge en carton fait tout pour me faire perdre.

Je regarda froidement Neuvilette. Est-ce vrai ? Est-ce qu'il n'est pas 100% impartial ?

J'étais en route pour aller à ma place quand j'entendis Neuvilette annoncer le verdict final.

Neuvilette : Coupable.

Je me stoppa, le dos tourné à la scène.

Neuvilette : Monsieur Anato, vous êtes coupable de meutre et votre sentence est la mort.

Mon cœur allait lâcher. Mon corps tremblait et mes yeux s'humidifient rapidement. Je sortis de la salle et le soir même, j'assista à sa mise à mort...

Je ne sentais plus aucun contact avec le monde extérieur, je sentais mon cœur battre vite, mes vaisseaux sanguins, mes os craqués, etc. Je me sentais vraiment malade de chagrin.

Je ne pouvais pas y croire.

Je courrus chez moi ne voulant voir personne.

Je resta enfermer seul dans le noir, je ne sortais plus.

Un soir, j'entendis quelqu'un frapper à ma porte. Je ne reponds pas et n'ouvre pas. Je reste dans mon lit dans le noir. Les yeux larmoyant.

La personne à la porte toqua 2 fois avant d'ouvrir la porte d'elle-même.

Neuvilette x reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant