M'envoler loin d'ici

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Voilà quelques petites infos importantes à propos de mon histoire avant de commencer votre lecture;

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Déjà il faut savoir que mon histoire se déroule avant le commencement de la série originale. Vous allez comprendre au fur et à mesure, ne vous inquiétez pas.

Ensuite certains petits détails vont changer. Donc pour la cohérence de ma fanfiction l'âge de cinq lorsque qu'il est parti et a fait un bon dans un futur apocalyptique est de 17 ans plutôt que 13, mais sa ne change rien à ça personnalité ou à son apparence dans mon histoire.

Autre petit changement le moment où les frères et sœurs de cinq recevront leur nom, ainsi que la mort de Ben arriverons avant le départ de cinq dans le futur.

Finalement certains faits dont la raison est inconnue seront résolu dans cette histoire. Ce sont bien sûr mes hypothèses sur des points que je trouve intriguant dans la série.

Voilà c'est tout! Sur ce, je vous souhaite bonne lecture j'espère que vous apprécierez!

Cœur sur vous 💫💖

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CHAPITRE 1

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Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours détesté mon prénom. Selon ma grand-mère mes parents m'auraient appelé ainsi en rapport à une actrice célèbre née en 1938, mais honnêtement je m'en fiche un peu. C'est vrai quoi, il est laid.

Ma grand-mère me disait toujours que j'étais méchante de penser ainsi car c'est une des seules choses qu'il me restait d'eux. Après tout je dois avouer que c'est vrai, mais je ne peux m'en empêcher, je ne l'aime pas un point c'est tout.

Mes parents sont décédés d'un accident de voiture alors que j'avais trois ans. J'ai quelques souvenirs flous et des photos de famille délavées, mais rien de bien sincère. Tout ce qu'il me restait comme famille, c'était ma grand-mère.

Mon père était en dispute avec ça famille depuis bien avant ma naissance, je ne sais pas qui ils sont et eux ne doivent même pas connaître mon existence. Ma mère était enfant unique et son père et décédé à l'âge 37 ans alors qu'elle en avait 16.

Un jour ensoleillé de juin, mes parents et moi on revenaient d'aller faire l'épicerie. Sur le siège arrière de la voiture dans mon banc pour enfant je pleurait, pour je ne sais plus trop pour quelle raison. Mon père conduisait et ma mère tentait en vain de me calmer.

Arrêté à un feu rouge, mon père se tourna à son tour pour aider celle-ci. Quand un piéton traversa au mauvais endroit, la voiture dernière nous klaxonna et mon père croyant que la lumière était redevenu verte commença à avancer sans pour autant regarder.

En sense connaître un gros camion qui lui avait la priorité ne nous vit pas à temps. Il brisa en deux notre chevrelet rouge écrasant la partie avant de la voiture et mes parents en même temps. La seule survivante de ce terrible accident fut une enfant pleurnichade avec ses deux nattes et un nom tellement imonde que je n'ose même pas mentionné.

Après cela mon tuteur légal est devenu ma grand-mère et je dû déménager à Toronto au Canada. Mon voisins était un homme froid et sans émotion, mais surtout il était riche, très riche. Vous savez, le cliché du vieux barbu, un peu fou, qui ne pense qu'a lui. Il me fesais peur. Deplus, il vivait dans une grande maison majestueuse avec ses sept enfants à peu près du même âge que moi.

Ces gens m'intriguais, je me faufilait souvent sous leurs grande barrière pour voir se qu'ils fabriquaient. J'étais toujours étonné de ne voir personne à l'extérieur, c'était pourtant des enfants comme moi. Enfin c'est ce que je croyais. Quand ma grand-mère me voyait de l'autre côté elle me réprimandais. Me rappelant que je ne pouvais pas entrer chez les gens ainsi, mais je ne l'écoutait pas. Trop de choses étranges se produisaient de l'autre côté de cette clôture pour que je n'y pense pas.

Étant jeune j'étais souvent troublée, je n'avais pas vraiment d'ami et je me souviens que je demandais souvent à ma grand-mère si c'était de ma faute si mes parents étaient mort. J'en voulais au monde entier, comparant ma vie à la leur. Je trouvais injuste ce que les gens pouvaient avoir et moi non. J'avais l'impression que personne ne remarquait la chance qu'il avait d'avoir un vie normale.

Je pleurait beaucoup pour une gamine entre 3 et 6 ans et je rêvait de retourner chez moi, avec mes parents, dans ma maison. Je ne croyais pas vraiment en quelque chose de supérieure et je n'y pensais pas. Après tout j'avais 6 ans, mais ma grand-mère priait, elle, et elle me disait que cela éffacait tout ses soucis et réalisait tout ses miracles.

Alors un soir, ou je pleurais dans mon lit, je devais avoir 4 ou 5 ans, je me suis mise à prier.
"Je voudrais être un papillon pour m'envoler loin, loin très loin d'ici.
Je voudrais être un papillon pour m'envoler loin, loin très loin d'ici.
Je voudrais être un papillon pour m'envoler loin, loin très loin d'ici."

À partir de ce jour, j'ai prié tout les soirs, je répétais la même phrase en boucle jusqu'à ce que je m'endorme. Mes seules moments de bonheurs était quand je fouillais la cour des Hargreaves, mes voisins immensément riche. C'est d'ailleurs comme ça que je l'ai rencontré...

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À suivre ...

 Si seulement j'étais toi... Cinq X Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant