L'été de mes 18 ans

Chapitre 11

Après avoir préparé l'endroit où nous allons faire le feu de camp, je pars dans ma tente pour m'habiller plus chaudement car la nuit commence à tomber. Au moment où j'allais commencer a mettre un t-shirt a manche longue quelqu'un demanda à l'entrée de ma tente si la personne pouvait entrer. Je reconnais la voix de la personne puisque je vie avec lui en ce moment depuis que mon père m'avait envoyé ici. Je lui répondis donc:

"- Oui, j'arrive deux minutes je suis en train d'enfiler un t-shirt et un pull.
Ok j'attend devant.me dit-il
Je me dépêcha donc d'enfiler mon t-shirt et de sortir de ma tante.
Tu voulais me dire quelque chose?
Oui. euh... Tu ne voudrais pas marcher avec moi?
Euh... Oui d'accord pas de problème.
Nous partîmes donc marcher dans la forêt, dans un silence mais il ne s'agissait pas d'un silence pesant ou alors gênant, non bien au contraire je me sentais bien de ce silence. Je trouve ce silence reposant contrairement à ma vie depuis que ma mère est morte.
Tu voulais me dire quoi ducoup?
Oui euh je voulais savoir... si ...
Les gars venez voir Matthew avait ramené des marshmallow que nous pourrions faire au feu et nous avons même des pommes et des petit gâteaux au beurre.
James et moi nous nous retournons donc vers Matthew et lui disons d'une seul et même voix:
Ouais nous arrivons deux minutes!!

James et moi nous retournons l'un envers l'autre en même temps et nous regardons dans les yeux. Après un petit moment, James décide de rompre le contact visuel et de commencer à partir avec la lumière. Puis quelque seconde plus tard, je me décide enfin à bouger pour le rejoindre, je commence à me casser la figure évidemment je ferme les yeux en attendant de toucher le sol. Mais bizarrement cela n'arrive pas, j'ouvre donc petit à petit mes yeux pour découvrir que je ne suis pas tomber par terre parce que james ma ratrapper avant que je ne touche le sol.

A ce moment là, je n'ose plus parler je ne sais pas comment j'ai fais pour me casser la figure.

"- Je suis désolé, je ne savais pas où je mettais les pieds. Je suis vraiment désolée.
Ça va ...? Est-ce que tu vas bien? Tu as mal quelque part?
je suis désolé, vraiment désolé je ne regardais pas où est ce que je mettais mes pied c'est ma faute.
T'inquiète pas tu n'as pas à t'excuser. Je ne devais pas partir avec la lampe sans avoir vérifié si tu me suivais. me dit-il avec la tête beaucoup trop près de la mienne tout en me regardant dans les yeux.
Non ce n'est pas ta faute je...

Je n'eus même pas le temps de finir ma phrase qu'il pausa ses lèvres sur les miennes. Au début de ce baiser je ne répondis pas car je ne m' attendais pas j'étais sous le choc, puis je commencer a répondre a ce baiser si magnifique. Puis après ce magnifique moment James rompis le contact de nos lèvres brusquement et dit:

"- Je suis désolé, je ne peux pas. ça ne devait pas arriver, c'était une erreur, ça ne doit pas recommencer.
Ouais... Je crois aussi que c'était une mauvaise idée que nous nous embrassions."

Je me lève donc et commence à partir mais il me retient par le bras par James.

"- Quoi!? Qu'est ce que tu veux??
Ne le prend pas comme ça Jess.
Tu veux que je le prenne comment hein? Tu veux que je te dise quoi? Oh merci James de m'avoir embrassé pour me jeter juste après. Tu sais comment je me sens par rapport à la mort de ma mère et toi tu me fais ça?
Oui je sais...
Non tu ne sais pas, tu ne sais pas ce que ça fait de se faire abandonner pour la troisième fois. Toi tu a des parents qui sont encore là et qui t'aiment et qui ne t'enverront pas chez des amis à eux que je n'ai jamais vus, sous aucun prétexte ils auraient essayer de comprendre.
Je suis désolé.
T'es désolé mais désolé de quoi?! commençais-je à crier plus fort. Hein?? tu es désolé de quoi?
...
c'est bien ce que je pensais..."

En retournant vers le feu de quand je bouscula Lucke et il me demanda si j'allais bien je lui répondis:

"- Oui je vais bien t'inquiète pas.
- Jess tu ne crois pas que si tu allais bien tu ne serais pas en train de pleurer?"

Je ne m'étais même pas rendu compte que je pleurer, d'un coup je me jeter dans ces bras. Il me ramena donc a ma tente où je m'endormi en restant dans ces bras pour me calmer.