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Coucouu les starlettes ⭐️
Ça vaa?
J'ai hésité tellement à poster ce chapitre, mais maintenant c'est fait! Mon cœur BAT à mille à l'heure! J'espère sincèrement qu'il vous plaira et que vous passerez un bon moment en le lisant. Bon! Trêve de bavardage!
Sur ce, bonne lecture! 🌸||
« A force de s'accrocher à des choses que l'on nous sait tout bonnement impossible, on finit par y laisser une part de soi, avec des brisures qui nous pénètre dans l'âme, y laissant une marque indélébile. »
-Chapitre1-
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Tristes retrouvailles.
—————————ZELDA.
Cleveland,Ohio.
États-Unis.—Cleveland Hopkins —
International airport09h PM
Je venais d'atterrir sur le sol américain.
En raison des paperasses et de certaines formalités qui m'avait ralenti, cela devait bien faire désormais une bonne trentaine de minutes environ que j'attendais, au sein de l'aéroport.
Mais à présent, j'étais là à attendre désespérément devant son entre, l'arrivée de ma... mère.Honnêtement
J'étais terriblement fatiguée, et je manquais de m'effondrer, j'avais besoin d'une grosse dose de sommeil.Et pourtant
Je restais assise, en attendant sur ce banc, le vent glacial griffant légèrement la peau de mon visage, et ma valise à portée de main tout juste à côté.
Et ce qui était paradoxale là maintenant, c'était le fait que je savais au fond de moi qu'elle ne viendrait pas, mais je persistais quant bien même à attendre.J'y arrive pas.
Je n'arrive toujours pas à me résoudre à l'idée que ce soit réel.
Elle me laisse tomber.
Encore une fois de plus, parmi tant d'autres...Elle me rejetait, et cela me faisait terriblement mal, parce que je le savais, cela. J'étais consciente de toute sa haine à mon égard, de son mépris, son dégoût ou encore la honte qu'elle ressentais du fait que je sois sa fille.
J'en avais le cœur qui saignait, un peu plus chaque jour qui passait.Brisée.
C'est ce que je suis. Ce qu'ils ont fait de moi.
Eux tous.Cela se voyait clairement dans mes yeux, au point où je venais à peiner ceux qui m'entourent , allant de mes connaissances proches à même des simples inconnues, à leur faire ressentir de la pitié.
Je le ressentais. Je le voyais dans leur regard qu'ils me lançaient, et qu'ils essayaient de rendre pour le moins du monde, expressif. Néanmoins, leurs yeux me le disaient, ils parlaient à leurs places.
Je laissais un soupir m'échapper, quand je sentis un goût salé sur ma langue.Je me suis laissé emporter une fois de plus par cette tristesse et pour rien tout simplement.
Je décidais de me lever et en tapotant durant de nombreuses minutes sur mon portable, je finis par trouver un motel abordable à quelques minutes de marche de l'aéroport.
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DIS-LE MOI.
RomanceD'un côté il y'a " elle ". Cette belle créature encrée dans sa tête depuis ce dit jour dès l'instant où leurs regards se sont croisés pour la première fois. Et pourtant - Pleurée, pleurée, pleurée. Elle n'a cessé de le faire et le fait toujours jusq...