chapitre 4

127 4 0
                                    

 salem les fille, j'essaie de mettre le max de chapitre se soir !

* j'entendais une femme crier de plus en plus fort*

une fois arriver a mon étage, sa c'est bien confirmé, c'étais ma mère... j'ai aussitôt senti mon ventre se nouer. j'ai prit mon courage a 2 main et je suis rentrée pour pas aggraver mon cas. je l'entander déjà m'insulter de tout les nom possible. de pute, de prostituer, de salope etc..

moi: selem

ma mère: tu étais ou ???? il est 16h 40

(jetais sensée être a la maison a 16h20)

moi: le, le tram il a prit un peu de retard..

(normalement j'ai pas de raison pour laquelle mentir, mais comme elle ma apprit a vivre cacher et a rien lui raconter, beh je ment, smeh si vous avez pas compris, mais les gens qui on des parent très strict vont comprendre)

ma mère: sal pute , c'est toi tu traine dans les toilette du lycée pour donner ta chatte au garçon, pour sa tu t'est fait belle, mais dans tout les cas, tu te fait belle ou nan, c'est la meme t'est grosse oublie pas.

je répétè bien mots pour mots ce qu'elle me dit.

moi: mais pourquoi tu dit sa , en plus ya papa qui entant tout et c'est la rentrée jte rappelle pour sa je me suis bien habiller.

ma mère: j'men fou de toute façon lui aussi c'est une pute comme toi, toute sa famille c'est des pute

a chaque fois qu'on s'embrouille moi et elle elle cri pour que mon père l'entend, et quand elle est bien sur que mon père la entendu , elle se met a l'insulter lui et sa famille.

bref, je me suis donc diriger vers ma chambre, mais quand j'étais dans le couloirs, je l'entander fouiller dans mon sac, après  rien n'avoir trouver dedans, elle le renversa sur le sol.

je suis donc partie pour tout ramasser et aller dans ma chambre. quand je suis rentrée dans ma chambre, c'étais un bordel sans nom. toute mon armoire étais au sol, mes habille mes cahier, mes livre, mes poster et  tout.

d'un coup je la sent arriver dériére moi, elle me projeta au sol, et avec le ciseau qu'elle tenait dans les main, elle a prit tout mes habille et les a déchirer enfin pour s'assurer que je ne les prenne pas, elle les a prit avec elle et les a mit dans sa chambre et a fermer a clef celle si, de toute façon je compter pas les récupérer il y rester rien.

moi: NAN MAMAN STP J'AI PAS D'HABILLER DEJA STP

ma mére: TU VAS AU LYCEE POUR DONNER TON CORPS HYN, BEH REGARDE

et elle continuer de tout déchirer.

moi: maman s'il te plait brabi

j'avait pas encore fini ma phrase que je me suis sentie décoller. elle m'avait mit une groosse baff. quand je suis tomber, je me suis cogner la tête contre mon lit, j'étais sonnée. je me suis pas relever et je suis rester recroqueviller sur moi meme pendent qu'elle metter le bordel au peu que j'avait...

quand elle étais enfin sortie de la chambre, j'ai éclater, j'ai pleurer a en avoir une migraine comme a mon habitude.

une fois calmer, j'ai commencer a ramasser le bazar.

mon père ma rejoint et ma aider aussi.

une fois le bazar rangée, je suis aller prendre une douche. mais j'ai sentie que j'en n'avait point la force, j'ai donc ouvert l'eau très chaude et je me suis accroupie dans la baignoire dans le noir, je pleurer toutes les larmes de mon corps et au fur et a mesure j'augmenter la température de l'eau, je ressentez plus rien.

chronique de Sourour : Mon sauveurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant