Marie-Antoinette

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Debout face à son peuple,
Sans une once de regret,
Laissant partir son orgueil,
C'est ainsi qu'elle se tenait

De tristes larmes glissèrent,
Celles d'une douce nostalgie
Ô, grand pays de Molière,
Reine va perde la vie

Dans un dernier souffle d'amour,
Elle pria son tendre roi
Des souvenirs de leurs beaux jours,
Les attendront dans l'au-delà

La France avait fait son choix,
C'est ainsi qu'ils la remerciaient
Jusqu'au bout elle garda la foi,
Elle mourut près du palais

Ô belle Marie-Antoinette,
En mémoire tu régneras,
Dans nos esprits tu survivras,
Jamais on ne t'oubliera...

Recueil poétique : la valse de l'imaginaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant