25-Je ne suis pas ta pu...!

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   Je resta la poitrine haletante rougi de colère alors qu'il était resté immobile . je n'étais pas fière mais j'étais soulagé de lui avoir cogné.

Sans plus tarder je vis une goutte de sang  sortir de sa tempe et coulé sur son visage ...Carlos effleura son visage de la main et y jeta un coup d'œil il avait la main ensanglantée.

         Il  me lança un regard menaçant et glaciale qui me fis pris de panique car je savais qu'il agissait comme un monstre quand il devenait en colère et je craignait le pire .

Il commença à déboutonner sa chemise puis le  retira nerveusement, s'essuya de son sang puis l'affala au sol avec rage et commença à défaire sa ceinture .


         Est ce qu'il allait me frapper?


         Je commençais a refluer l'air terrifié. Ses muscles commençait à se contracté et ses dents a se serré dans sa mâchoire.  D'un geste brusque   il fit sortir sa ceinture de son pantalon noua la boucle  dans sa main Et commençait à se rapprocher de moi.

En refluant je perdis l'équilibre en m'affalant sur le lit le cœur battant à tout rompre . Il continuait d'avancer et moi j'étais resté figé. Il  écarta ses jambes me plaça au millieu en prenant  le dessus de moi .

À l'instant où il leva son ceinturon en l'air  je couina tou en fermant les yeux le corps replié protégeant mon visage par le bras .

Je m'attendais à encaisser des coups de ceinture partout sur ma peau comme le faisait mon père mais je ne ressentais rien . Je descendis le bras en ouvrant les yeux son ceinturon était toujours en l'air.

Les dentelles de ma nuisette étaient  descendus le long de mes épaules dévoilant mes seins elle était remonté vers mes hanches dévoilant mes cuisses . Je le vis parcourir son regard sur mon corps... a mis nue .

CARLOS:  tu m'as  fait promettre de ne plus te  frapper  alors que tu as tout fait pour que je lève la main sur toi Nabila .

            Je resta la poitrine haletante. Il descendit la main posa la ceinture sur le lit et commença à dénoué la ceinture de son pantalon et le descendit contre se jambes suivi de son caleçon et se dévoila son corps mis a nue devant moi .



     Pour la deuxième fois je me trouvais face à de tel  merveille  J'essayais de rester coriace mais C'était impossible face à une telle matière  sculpté par des abdos et des pectoraux bien solidifié et son  membre longuement durcit vers moi .

        Plus il s'approchait vers moi Plus j'étais excité  Il me tira par les pieds en me ramenant vers lui au bord du lit . Son sexe pointé contre un revolver vers moi était à deux doigt d'effleurer ma bouche . Il me prit la main , me la posa sur son torse et commença à la faire glisser sensiblement contre ses muscles qui se crispèrent sur ma paume .


Oh mon Dieu ! son corps !


CARLOS: Tu préfères Ricardo ... qu'à ça ?


Soudain il prit la ceinture sur le lit et me le passa contre de la nuque et me l'attaché comme une vulgaire esclave.


CARLOS: Suce Moi.


Pardon mais Pour qui il se prend !



MOI: Tu n'as pas à me parler comme ça  je ne suis pas ta pu...!



                Avant même que je termina ma phrase il tira sur la ceinture en ramenant ma tête vers ses hanches et introduisit son sexe Dans ma bouche et dirigeait cordialement les mouvements de va et vient de ma tête m'obligeant à me soumettre à lui.

     La bouche entre-ouverte , les recoins de la bouche recouvert de bave et de liquide pré-seminal . La poitrine haletante les mains contre ses cuisses il me relégua en me penchant la tête en arrière en me lançant ce regard Rébarbatif et à la fois possessif.


CARLOS: tu préfères toujours le sien ? Me demanda t-Il en se courbant vers moi. ...Réponds dit il en tapotant sa main sur ma joue .

                  Il pencha sa tête vers moi puis me prit les lèvres et m'embrassa et échangea avec lui le goût de son membre qu'il avait laissé sur ma bouche puis volontairement je me dirigea vers son entrejambe pendant qu'il se redressa et continua ce que j'avais commencé en le savourant telle un gibier affamé .


         Il courba  à nouveau brusquement ma tête en arrière et se pencha cette fois contre mes oreilles. 

     

CARLOS: Si tu préfères toujours le sien c'est que tu dois avoir des goûts de merde .

      
  
   Je commençais à lui frapper du bras l'air contrarié


MOI: Lâche moi !

                 Il  dénoua la ceinture contre ma nuque ,  me prit par la taille et me renversa sur le ventre en me mettant en position de levrette , me mît  Les bras derrière le dos et me passa la ceinture au bras comme des Menottes.

CARLOS: je vais te baisé tellement fort que même les gardes de la cotes t'entendront crier et auront pitié de toi.


             Rien qu'en écoutant cette phrase et rien  qu'en imaginant à quel point j'allais devoir encaissé ses coupe de reins dans cette position je commençais deja à mouillé.

Il était en colère, il avait sauté les préliminaires et se contentait tout simplement de me pénétré durement avec un sentiment mêlé de rancune et de jalousie . j'en ai vraiment pris du plaisir à être baisé aussi brutalement.

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