Prisonnière du Lion

57-La rupture

PDV DE TRISTAN

Une fois que j'avais jeté son arme avec un coup de pied j'eus le temps de me relever en me mettant sur mes jambes . Nous étions tout les deux non armé . On allait devoir s'affronter a main nue mais mon adversaire était dix fois plus grand et plus robuste que moi.

      Il fut le premier à m'attaquer l'effet de son poing dans mon visage faisait le poids d'un altère de 20 kg je lui enfonça mon poing en pleine face mais il restait intacte comme çi c'était un enfant de dix ans qui venait de le frapper et il me suffisait que d'un autre raclée pour me faire asperger du sang par le nez . J'étais devenu un ballon de frappe , un punching-ball entre ses mains.

Pour couronner le tout il me donna un coup de tête qui m'affala au sol . Il me fit l'effet d'un choc au cerveau comme çi il avait été explosé et je le ressentais plus . pendant que j'étais au sol je vis paraître Carlos.

PDV DE CARLOS

Quand je suis arrivé au salon j'étais étonné de voir Tristan toujours en vie entrain d'être frappé par l'un des hommes de Cristobal alors que j'avais demandé à Léon de le tuer.

        Tous ce que Je voulais c'était de retrouver ma femme et mes enfants avant que Cristobal s'en prennent à eux mais L'agresseur de Tristan s'était retourné vers moi . Nous étions de la même taille et il avait quelque kilo de plus que moi je le voyais tout simplement comme un contre-temps et pour attraper le temps je devrai m'en débarrasser au plus vite sans me salir les mains .

        J'avais une arme dans la main et je voyais qu'il n'était pas armé je jeta le mien pour lui donner l'impression que j'allais me battre à main nue avec lui mais il voulait se faire passer pour le plus coriace je le vis sortir un couteau de son côté en fronçant droit sur moi.

    je l'esquiva en me retirant et son couteau s'enfonça dans le canapé il l'enleva hâtivement puis se tourna vers moi en faisant plusieurs tentatives pour me poignarder avec son couteau je les esquiva toutes .

       Il m'a suffit qu'une dernière pour que la lame m' atteigne par le bras et me fit une ouverture . Je ne voulais pas me salir mais il venait de mettre mon sang dehors . je me rendis compte que j'avais beaucoup trop misé avec lui .

         Il s'apprêtait à m'implanter la lame dans l'abdomen quand je lui retena le bras . il était obligé d'utiliser ses deux mains et moi de même pour tenter de lui retourner la lame dans le sien jusqu'à ce que je le lui enfonça profondément et a plusieurs reprise de façon consécutif .

       Il s'effondra au sol puis je me précipita vers Tristan qui gisait par terre.

MOI : Où est ma femme et ma fille ? Où est Juan?

Il avait le visage ensanglanté , il n'arrivait pas à parler et moi j'étais impatient et fou de rage . Je le pris par la gorge et le secoua

MOI : Tristan où est Nabila?

TRISTAN : Cris... Cristo... Cristobal me balbutiait t-il

PDV DE NABILA

Je voyais bien que cet homme était prêt à tout pour vaincre Carlos uniquement pour satisfaire son désir de pouvoir et j'étais face à mon agonie. Je m'apprêtais à contourner le comptoir mais Il a été plus rapide que moi il m'attrapa en passant son bras autour de ma nuque et il me  pointa une arme contre la tempe .

CRISTOBAL : Où vas tu ma jolie dis moi où t'as caché ta fille et le petit Juan avant que je te tue .

J'essayais de me débattre mais en vain il me serra tellement fort que je n'arrivais plus à bien respirer .

CRISTOBAL : Puisque tu ne veux pas me répondre je vais faire exploser ce manoir comme ça ils passeront tout les deux .

Il m'entraîna avec lui vers la porte .

MOI : Non ! Non !

Il y avait plusieurs porte de sortie . Il sortit avec moi vers une et me conduisit à l'extérieur .

VOIX: Retire tes sales pâtes de ma femme immédiatement fils de pute !

C'était la voix de Carlos .

           Enfin il était là ! Mon sauveur était là .

Cristobal se retourna vers lui il avait toujours son bras autour de ma nuque son arme contre ma tempe et Carlos avait son arme pointé sur lui . Cristobal c'était mit à bidonné comme un forcené.

CRISTOBAL : Ta femme ! J'ai cru entendre qu'elle ne voulait plus être avec toi .

Carlos me fusilla du regard l'air offenser.

CRISTOBAL : Elle m'a aussi dit que tous ce qu'elle voulait c'était de se sauver avec sa fille .

Je voyais les muscles de son visage se contracté ses dents se serrer bien que c'était la vérité mais je savais que Cristobal essayait de trouver un moyen de le déconcentrer afin de pouvoir l'atteindre beaucoup plus facilement.

CRISTOBAL : N'est ce pas ma jolie ? dis lui .

Il me lâcha et pointant son arme vers moi me donna une poussade dans le dos en m'affalant par terre sur mes genoux .

J'avais la tête baissé et je n'arrivais pas à levé les yeux vers Carlos pour lui dire que je veux le quitter en me sauvant avec ma fille bien que ma raison avait déjà été prise  mais mon cœur refusais toujours d'obéir .

Je me suis mit à sangloter.

CRISTOBAL : Dis lui !

Cristobal avait son arme pointé contre ma tête . Je pris mon courage à deux main et leva les yeux vers lui en pleur et décida de lui dire la vérité.

MOI : Tristan et moi ...on ...on a prévu de se sauver ensemble en enmenant Lucia et Juan avec nous . Mais malheureusement ...Juan a disparu et je ...je ne le retrouve plus . Saches que ma décision a déjà été prise .je ne veux plus être avec toi Carlos . toi et moi c'est terminé.

Il me regarda l'air moribond et Cristobal ricana de lui .

CRISTOBAL : la première t'a trompé avec ton frère et la seconde Prévoit de s'enfuir avec un autre t'as vraiment pas de chance !

je voyais qu'au fond il essayait de se forger un cœur de Pierre pour ne rien laisser paraître et ne pas être vulnérable au moquerie de Cristobal .

CRISTOBAL : ton mariage est terminé , ton pouvoir arrive à sa fin et ta vie va s'arrêter içi . Tu vas regarder mourir ta femme et tes enfants...Tout est fini pour toi Carlos.

CARLOS : C'est ce que tu crois .