The Act Of Lies

Chapître I :

Je me sens vivante, libre, indépendante.

Je suis le rythme de la musique. Je me soucie de rien, de personne.

Je sens quelqu'un me coller dans mon dos et entourer mon corps de ses gros bras, sa main remonte tout doucement entre mes cuisses, et passe sous ma robe pour toucher les fils de mon string, mais je m'en fou, je savoure cette chaleur corporelle.

Je danse et profite, comme tous les soirs. Soit c'est ma boîte de nuit, ou soit celui d'un associé, mais i don't care, je profite, j'ai dit.

L'homme, dans mon dos, fait une légère pression sur mes hanches, et me fait pivoter. Je me retrouve face à lui. Immobile.

Eyes contact gênant un peu.

On se regarde pendant de longues minutes.

Attends t'es sérieux là cabrón ? Tu me fais arrêté de danser juste pour qu'on se regarde comme des cons ?

Bon, j'avoue, la nature l'a bien gâté. Il est grand, je sens qu'il est très musclé à travers son tee-shirt blanc. Il a un très beau sourire aussi avec ses dents magnifiquement bien alignées, et ses cheveux châtains ont des grosses boucles magiques. Son regard, est un mélange de malice et de douceur.

Eh, l'alcool me monte un peu trop à la tête, faut que j'arrête.

On échange un sourire, et tout à coup, une lueur d'excitation passe dans son regard qui me dévisageait de haut en bas, depuis le début de notre eyes contact.

Oula, je ne sens plus de gêne soudainement

Il me fait un sourire avec plein de sous-entendu et me fait zig-zager entre la foule de gens. Je vois qu'il me tire vers les toilettes de la boîte.

Ah, on commence les choses sérieuses alors, mi amor.

Je le suis toute souriante. Arrivé dans les toilettes mixtes, je le plaque contre le mur avant même qu'on a le temps de fermer la porte.

- Désolé, bébé, mais ma chatte est bouillante là donc dépêche-toi sors-le. Dis-je impatiente, déboutonnant son jean le plus vite possible.

- Eh, tout doux joli cur. Pourquoi t'es pressé comme ça ? Me demande t-il sourire au coin.

- T'es sourd ou quoi ? Je viens de te dire la raison. La nature t'a donné la beauté, mais pas l'ouïe ? Lui répondis-je en descendant son pantalon d'un coup sec en souriant à mon tour.

Je jette un coup d'il, voir les deux yeux, vers sa bite au garde-à-vous. En vérité, ce n'est pas si énorme que ça. Au fait, c'est ni petit, ni grand, ni mince, ni gros.

C'est, à peu près, la taille parfaite.

- Alors ? Tu aimes ce que tu vois ? M'interroge-t-il en me tirant vers lui.

Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'il me plaque contre le mur - où je l'ai plaqué quelques minutes avant - et me mets dos à lui. Il ne perd pas une seconde et soulève ma robe, déplace mon string et s'enfonce en moi d'un coup sec, sans que je m'y attende. Il commence à faire des va-et-vient rapide et fort.

- Moi aussi, ma bite est bouillante. Me susurre-t-il à l'oreille.

Limite, je hurle. Je hurle de plaisir tellement que je suis sure avoir réveillé les morts que j'ai tué tout au long de mon existence. Ces coups de rein sont tellement fort, si fort.

Au bout de quelques minutes, je sens une chaleur dans mon bas-ventre qui se créait. Alors, je décide de changer de position. Je le pousse et saute pour entourer son corps de mes jambes. Il s'enfonce une seconde fois en moi.