Chapitre 19

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Je me réveille dans une pièce très sombre, c'est à peine si je vois. J'essaye de me lever, mais une douleur aux bras m'arrête. Je regarde se qui a pue être la cause de ma douleur.

Je baisse la tête en direction de mes bras et voie avec horreur que je suis ligotée. Mes poignets sont coupés à cause du frottement de la corde.

Je sers les dents. Je décide d'utiliser mon alter pour m'éclairer et regarder cette pièce. Je fais un flash, et constate avec horreur que c'est un salle de torture.

Nan, c'est pas vrai, je peux pas finir comme ça ! Et puis, je voudrais au moins savoir où je suis.

- Ouvrez moi ! Qui êtes vous ? Pourquoi vos m'avez kidnappé ? On est où ? Je m'époumone.

Personne ne me répond. Je serre les dents, puis je me souvient. Je me souvient qu'hier, je me suis fait enlever par l'alliance ! Et ils ont pris Katsuki , aussi !

J'essaye désespérément de faire fondre la corde avec mon alter, mais elle n'a que quelques marque de brûler.

Je m'assoie sur ma chaise, résignée, quand au bout de quelques minutes, j'entends des bruits de pas dans le couloir.

La porte s'ouvre sur le visage hideux de Shigaraki.

- Alors, comment vas-tu ? Me demande t'il d'une voix mielleuse.

Je lève un sourcil et le regarde d'un air jugeurs.

- Ce n'est pas la peine de me regarder comme ça. De toute façon, tu parleras quand je te poserai des questions, sinon...

Il regarde les objets de tortures. J'avale difficilement ma salive. Je sais qu'il ne dit pas ça pour le faire peur. Il le fera vraiment.

- Où est Katsuki ? Est ce qu'il va bien ? Je demande.

- Ne t'en fait pas pour ton copain  il est entre de bonne main.

Il esquisse un sourire sadique.

- Qu'est ce que vous lui avait fait ? Je m'exclame.

- Ho, tu le découvrira assez vite.

Sur ce, il claque la porte et s'en va.

Qu'est ce qu'il ont bien pus lui faire ?

Je fini par m'endormir, épuisée et angoissée. Une voix le réveille en sursaut. Je lève la tête et voie Spiiner, Toga , Dani, Mister compresse, Twice et Shigaraki. L'alliance au complet.

- Dégagez. Laissez moi tranquille. Je leur lance.

Dabi me lance un sourire carnassier.

- Tu vas venir avec moi. On va aller voir ton petit copain !

Je n'ai pas le temps de faire quoi que ce soit, il brûle ma corde et mes mains en même temps. Je hurle de douleur.

Il m'attrape par le bras et m'entraîne hors de la salle. Nous arrivons devant une porte en fer criblé de trou.

- Il y a des mites chez vous ? Je demande pour l'énerver.

- Non, c'est ton copain qui a frappé la porte.

Je n'en revient pas. Je ne savais pas que Katsuki avait autant de force. Il devait être vraiment très énervé. Soudain, j'entends un grand fracas géant de derrière la porte.

- Katsuki ! Je crie. Je suis là !

Il a des brûlures sur les bras, il est coupé à la jambe mais il ne semble pas souffrir.

- Kimiko ? C'est toi ? Ces fumiers t'ont aussi kidnappé ? Lance la voix énervé du blond.

Dabi ouvre la porte en donnant un coup de pied dedans.

- Va le voir et arrête de brailler.

Il me pousse dans la chambre et j'entends la clef tourner. Je cours vers Katsuki et lui saute dans les bras. Il le rend mon étreinte et je sanglote.

- J'ai eu trop peur ! J'etait dans une salle de torture, il ont dit qu'ils allaient me torturer si je répondait pas ! Et toi ça va ? Qu'est ce qu'il t'ont fait ?

- Non je n'est rien. Quelle bande de fumiers ! Bon, on va sortir d'ici.

Pourquoi il ne me dit pas se qu'ils lui ont fait ?

- Mais comment ?

Je vais défoncer la porte avec mon alter. Il se jette sur la porte et balance des explosions, mais la porte n'a que quelques trous. Il réessaye plusieurs fois, mais rien n'y fait.

- Arrête, ça sert à rien. Je lance.

Il ne dis rien. Mon ventre gargouille.

- J'ai faim. Je dis.

- Pareille. Je te parie qu'il vont venir dans cinq minutes. Ils nous entendent sûrement grâce au miroir. Il doit y avoir des micros.

- Heu... on n'est pas dans les films, Katsuki.

- Tch. Si il arrive dans cinq minutes tu le dois le respect éternelle.

- Pff. Ok.

Nous attendons et effectivement, Shigaraki arrive avec des sushis dans les mains. Il nous les lance et nous les dégustons avec appétit.

Ils ne m'ont toujours pas fait sortir de la chambre de Bakugo. Tant mieux, mais c'est quand même bizarre.

Je m'allonge sur le lit, et dit à Katsuki :

- Si tu veux je peux dormir par terre. Par contre tu me donnes l'oreiller.

- Personne ne dors par terre. Le lit est assez grand.

Je me colle au mur pour lui laisser de la place, il s'installe et je m'endors. 

Ma lumière c'est toi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant