SHE'S MINE

Chapitre 10

Ce chapitre sera du point de vue de Ian.
En espérant que ce chapitre vous plaise....
                  Bonne lecture
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Je ne pensais pas développer des sentiments pour une personne autres que mes '' emperor's ".
Depuis mon plus jeune âge, je ne me suis consacré qu'à eux et seulement eux sans jamais avoir le temps de m'occuper des autres personnes. Ce sont les prunelles de mes yeux, les personnes qui donnent l'essence à ma vie. Perdus dans un océan de noirceur, ils étaient les seuls éclats de lumière à qui je me maintenais pour ne pas me noyer.

Tout ça, c'était avant elle...

Je ne saurai expliquer le sentiment de possessivité qui m'a envahi le jour où j'ai accroché mes yeux aux siens.

Elle était si belle,

si rayonnante,

si envoûtante...

Quand je l'ai vu, j'ai eu l'impression de revoir les couleurs autour de moi. Elle dansait gracieusement faisant disparaître tout ce qu'il y avait dans la salle pour ne laisser que sa seule silhouette qui virevolter dans les airs. Elle redonner des couleurs à ma vie en même temps qu'elle me donner des bouffées de chaleurs. Elle avait l'aire presque irréel...

Puis je l'ai revu dans cette ruelle, plaqué contre un mur, prisonnière d'un pervers alcoolique. Je n'ai pas su me contrôler et j'ai foncé pour lui déversée la colère d'avoir toucher ce qui m'appartient.

Ouais, elle m'appartient.

She's mine...

Je l'ai rencontré et maintenant je ne peux plus me passer d'elle. Elle m'ait devenu indispensable.
Je suis peut-être égoïste de vouloir la garder avec moi au risque de lui faire découvrir l'enfer dans lequel je vis, mais je ne peux pas la savoir loin de moi.
Son odeur qui m'enivre, ses yeux qui me transporte, la chaleur de son corps qui m'apaise.

she fucking calms me down
(Elle m'apaise putain)

Quand je fais l'une de mes crises et qu'elle est prêt de moi, je me calme non seulement pour ne pas la blesser, mais aussi parce que sa présence me détend. Aucun de mes tranquillisants n'ont jamais eu un aussi bon effet que sa présence. Elle a éveillé en moi un sentiment que je pensais éteint depuis des lustres. Quand elle n'est pas là je ne fais que penser à elle, quand elle est là je ne fais que l'observer. Elle a su m'obsédé en moins d'une semaine.

J'ai appris à connaître ses habitudes. Elle a très souvent le regard dans le vide, elle fronce ses sourcils quand elle est inquiète, elle se mord la lèvre quand elle n'ose pas poser une question, elle tripote ses doigts quand elle est perdu dans ses pensées. Et je suis bien placé pour savoir que se sont des signes de traumatisme. Derrière l'impression d'une simple coquille vide j'ai pu apercevoir une âme remplie d'énergie, une âme qui brûle d'envie de refaire surface.

Et j'ai bien l'intention de la refaire briller.

J'aurai très bien pu faire des recherches sur son passé. Mais je préfère qu'elle s'ouvre à moi de son plein gré, je patienterai le temps qu'il faudra. Tout est tellement naturel entre eux, que je ne crains pas de percer sa carapace.

Je reviens à la raison quand j'entends Bella me dire :

- Fred risque d'être un peu froid avec toi.

Sans blague....

- et pourquoi ? Demandai-je.

- c'est un peu comme mon père tu sais, il est très protecteur en vers moi.

Si il l'était vraiment, il ne t'aurais pas laisser me fréquenter, avais-je envie de lui répondre.

- je comprends, répondis-je finalement.