Chapitre 6

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salut la famille


moi: oula qu'est-ce qu'il se passe ?

Zakaria: Avec tes frères on à décidé que tu pouvait pas retourner à l'école à cause d'Assan.

moi: mais Zakaria je fais comment pour mon bac ?

Zakaria: Idir viendra t'amener les cours, tu travaillera à la maison.

moi: pfffff

Zakaria: pffff pas c'est pour ta sécurité.

moi: oui je comprend mais j'ai rien demandé moi. Je suis mêlée a vos histoires de biz alors que j'ai toujours tout fait pour éviter ça.

Zakaria: je sais bien mais t'as pas le choix


Il ma souler du coup je suis partie dans ma chambre en soufflant. Sauf que j'avais pas d'affaire vu qu'elles étaient dans sa chambre du coup je suis allée les chercher .


Zakaria: tu sais tu peut toujours rester dormir avec moi

Il a dit ça avec son petit sourire en coin la ça m'a encore plus soulée.

moi: non merci.

Zakaria: t'en meurt d'envie

moi: ça doit être ça we.

Zakaria: mais c'est ça

moi: vazy vazy bouge.

Zakaria: tu vois c'est ça ton problème j'essaye d'être gentil avec toi et toi tu fais la meuf.

moi: tu veux que je fasse le mec peut être ?

Zakaria: continue a me zehef vazy continue.

moi: je m'en fou Zakaria laisse moi tranquille.


Il est sortie de la maison en claquant la porte tellement fort que je pense que tout le bat à tremblé. J'y suis peut-être aller un peu fort avec lui mais vazy il m'avait soulé. 

Hassoul, j'ai fini de ranger mes affaires dans mon placard puis j'ai fait à manger. J'ai quand même fait une assiette à Zakaria et je l'ai laissé dans le micro-onde. La journée c'est fini donc j'ai décidé d'appeler ma mère.


*AU TELEPHONE*


Yemma: allo

moi: we c'est moi

Yemma: c'est qui moi ?

moi: mama c'est Tiziri, ta fille.

Yemma: ah

moi: t'as pas enregistrer mon numéro dans ton téléphone ?

Yemma: non.

moi: ah bon ok. Sinon ça v-

Yemma: je suis occupé je peut pas te parler. bye.


*FIN DE L'APPEL*


elle a raccroché avant même que je puisse répondre. ça aussi ça m'a soulé du coup je suis directe partie dormir. Le lendemain matin je me suis réveillée vers 8h (j'avais trop la haine). Je suis passé devant la chambre de Zakaria et j'ai vu qu'il n'était pas rentré, le lit était encore fait. J'avais peur qu'il lui soit arriver un truc, je m'en serai voulu sah.

Je n'ai pas eu le choix : chronique de TiziriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant