Toi & Moi [ en réécriture ]

XI:

PDV Erza:

Je vous Jellal ouvrir doucement les yeux a la suite de ma phrase, un peu désorienté. J'avoue que j'ai mis un peu de temps avant de le réveiller, je l'ai comme qui dirait admirer, sa mâchoire bien dessiné, son nez fin, ses lèvre qui laissait échapper son souffle et son tatouage, qui c'est fait en rentré second, pendant les vacances, il l'a fait en hommage pour son grand père, qui avait le même mais sur le bras, il symbolise la force.

Je reprends mes esprits au moment où je sens Jellal se relever sur le siège pour s'étiré. Je me dirigea vers le coffre, pour sortir son fauteuil roulant et notre valise, on en a pris qu'une seul car nous ne restons que quatre jours, après que cela sois sortie, j'alla mettre la valise devant la porte d'entrée. Dans moins de quinze jours, je commence mon nouveau travail de psychologue.

Je fait rouler le fauteuil jusqu'à la place avant, j'aide avec un peu de mal Jellal a s'installer dedans, puis nous nous dirigeons sans plus attendre devant la porte d'entrée. Je vis Jellal se tripoter les doigts,un autre signe de stress qu'il a, je pose ma main sur son épaule pour le soutenir, je me pencha vers son oreille puis dit:

- ne t'inquiètes pas, tous va bien se passer, de toute façon ils t'adore, ma mère a hurlé de joie quand je lui ai dit que tu allais venir, fis je d'une voix rassurante

Il ne dit rien mais posa son imposante main sur la mienne, je continua a avancé vers la porte d'entrée.

Arrivée devant celle si, je relâche la petite précision que j'avais faites sur l'épaule de Jellal et appuie sur la sonnette, a peine quelque seconde plus tard, j'attends ma mère hurler a mon père, puis on entend des pas déballer les escaliers, pour enfin, arrivé devant la porte et l'ouvrir a la volé.

Mon père, Acnologia, grand, massif, les cheveux long, bleu en bataille et le regard noir aussi froid qu'un glacier, ces avant bras rempli de tatouages et de cicatrices. Cette homme peux est inspire la peur au gens qui le croise, personne peux deviner se qu'il se passe derrière se masque de fer. Mais bien vite, se regard froid et cruel disparé bien vite pour laisser place à un sourire et un regard attendrie a mon égard.

Il ouvre la bouche, laissant apparaitre des canines plus longue que la moyenne, pour s'exclamer:

- ma grande fille chérie est revenu chez elle, dit il en me prenant dans ces gros bras

Je sourie et lui rend bien son câlin,cella fait quelque moi que je ne suis pas revenue chez les parents, et je dois avouer que les revoir me fait le plus grand bien.

Après se qu'il me semble quelque minute, mon père décide de se décaler, il dépose un bisous sur mon front, et ensuite pose sa grande main sur ma joue droite. Il me regarde avec attention, toujours le sourire au lèvre, dans ces yeux je vois l'amour qu'il me porte, toute les phrases d'amour qu'il me communique avec un simple regard. Et se regard me rappelle a quelle point je me sens bien avec lui, que je suis importante a ces yeux, que j'ai toujours une place, alors oui

Je suis revenu chez moi

Mon chez moi

Je lui adresse un grand sourire, tout en me collant un peu plus a sa main.

Puis il se décale enfin, posant ensuite son regard sur Jellal, qui se tend directement. Mon père n'as toujours pas lâché son sourire, et je crois qu'il ne partira pas de si tôt

- ben alors Jeje, tu t'es tasser avant l'heure ? Dit mon père avec un ton de sarcasmes dans la voix, je ne pensais pas que la vieillesse aller t'avoir avant moi

- Ah-Ah-ah, je pleure de rire, fait Jellal, le ton sarcastique, se détendant instantanément, je vous rappelle que je vous égale presque en matière de taille, fait il, plus que sur de lui en se levant