VI: L'hôpital et les retrouvailles

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PDV Erza:

Arrivé à l'hôpital, je ne perd pas une seconde et descend de ma voiture. Je me dirige à grande enjambée vers l'entré, arriver a l'accueil, je demande avec empressement la chambre dans laquelle se trouve Jellal.

199

La chambre est la 199, étage 9 .

Je remercie la dame de l'accueil et me diriger vers l'ascenseur, l'appel, entre et appuis sur le bouton 9. J'ai l'impression que c'est les minute les plus longue de ma vie, j'ai peur, c'est normale me diriez vous, mais moi sa me fait peur, une peur horrible. J'ai peur de le retrouver dans un état critique, peur de comment je vais réagir, cela fait quand même 5 ans que nous ne nous sommes pas vue, et se n'est pas les meilleur retrouvaille je dirais. Le bip de l'ascenseur me fit sortir de mon état second, je ne perd pas une minute et me met a la recherche de cette chambre, dans se long couloir blanc, les prote se ressemble, j'ai l'impression que les chiffres aussi. Je fini par atteindre la chambre, au bout de se qui aurai semblais être une année lumière, je m'arrête et pris le temps de respiré, si on récapitule bien, je vais entré dans cette pièce, cette chambre, ou Jellal Fernandez si trouve, autrement dit le mec a qui je n'est plus adresser la parole depuis 5 ans. On m'a fait venir ici car il a eu un accident au combat alors que je n'étais même pas au courant qu'il était a l'armée!!

Je toque à la porte, et je pénétras dans la pièce. Se que j'y vis me glaça le sang, je vie Jellal étendu là, dans le lit, relier a plusieurs machine plus étrange les uns que les autres, plusieurs bandage entourant ces bras, le début se son torse car bien sur je ne voyais pas le reste se qui m'inquiéter encore plus, le pire je crois c'est le masque respiratoire, je ne pu empêcher mes larmes de couler le long de mes joue. C'est se moment je crois que je remarqua enfin le Général assis un peu plus loin, quand il vis que je l'avait remarquer il se leva et s'approcha de moi.

Général: Rebonjour Madame Scarlet, je ne me suis pas convenablement présenter au téléphone, je suis le Général Jura Nekis, je suis vraiment désolé que nous nous rencontrions dans c'est circonstance peu joyeux, a se que je peux vois a vos yeux, cela en va de votre côté, surtout a côse de Jellal je ne me trompe?

Moi: En .. En effet, cela fait bien longtemps que Jellal et moi nous somme perdu de vue, et le voir dans cette état me donne un mal de coeur atroce que je ne pourrais pas le décrire.

Jura: Je comprend tous à fait votre ressentis, j'aurais était dans le même état si sa aurais était un ami proche

Je regarde le lit ou Jellal y est étendu, quand je le vois bouger et froncer les sourcils, je m'approche tous doucement de lui, jusqu'à être a son côté, je le regarda,et posa ma main sur c'est cheveux pour les caresser, il ouvrit lentement les yeux, papillonna un peu des yeux puis quand il fut grand ouvert, c'est yeux se sont poser sur moi, je ne pu empêcher mes larmes de couler encore plus,  je vis dans c'est yeux d'abord l'incompréhension puis ensuite de la joie mélanger a de la tristesse et de la douleur, ces yeux briller de larmes eux aussi.

Jellal: Erza ?

Moi: Salut... disais-je avec une petite voix

Je le vis sourire douloureusement,je lui rendis aussi un faible sourire

Jellal: J'aurais voulu qu'on se retrouve dans de meilleur circonstance, dit il d'une voix courte, casser même

Moi: C'est vrai, comment tu te sens ?

Je continu mes mouvement de main dans ces cheveux, se qui a l'air de le détendre

Jellal: Je te mentirais si je te disais que je ne sens rien, je crois que la douleur est supportable grâce aux anti-douleur qu'on ma filer, dit il toujours d'une voix courte et casser

Toi & Moi [ en réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant