Et si je t'aimais ? 2

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Ava descendit en trombe et me vit.

- Où est mon frère ? Demanda Ava.

- Parti. Dis-je encore sous le choc.

Ava appela Thomas mais ça tombait sur sa messagerie. Ava me regarda elle me fit un signe de tête pour dire de le suivre. On partit dehors. La voiture de Thomas n'étais plus là.

- Thomas ! Hurla Ava.

- J'appelle Gabin. Dis-je.

- Ouais. Dit Ava en paniquant.

J'appelai Gabin, celui-ci répondit. Je mis le haut parleur.

- Livia qu'elle surprise. Dit Gabin.

- Tu n'as pas vu Thomas ? Demandai-je avec inquiétude.

- Non il n'est pas au lycée. Pourquoi ? Dit Gabin.

- Merde. Dit Ava avec inquiétude.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? Demanda Gabin avec inquiétude.

- Je t'expliquerai aide nous à le trouver s'te plaît. Préviens le plus de monde pour nous aider à chercher. Ordonnai-je.

- Ça marche. Je vous tiens au jus les filles. Dit Gabin avant de raccrocher.

- On va se séparer. Dis-je à Ava.

Elle me fit un oui de la tête. Je me mis à la recherche de Thomas.

PDV De Thomas :

Je conduisais et vis un parc. Je me garai et sortis de la voiture. Je mis la capuche de mon sweat pour pas qu'on me reconnaisse. J'étais bientôt arrivé à l'immeuble.

J'espère qu'elle habite toujours ici.

J'étais arrivé à l'immeuble. Je regardai les adresses qu'il y avait à côté de la sonnette. Je vis le nom de famille d'Eloïse, j'appuyai sur la sonnette. La porte s'ouvrît, j'entrai et pris l'escalier.

Si je m'en rappelle bien elle habite au 2ème étage porte 230.

J'étais arrivé au deuxième étage, je me dirigeai vers la porte 230. Je vis Eloïse qui m'attendait, elle était en chemise de nuit. Elle avait les cheveux en pétard et elle avait le visage pâle. Je me forçais à ne pas rigoler  et me dirigeai vers elle.

- Salut. Dis-je amicalement.

- Salut. Dit-elle avec un air épuisé.

- Ça va ? Demandai-je.

- Ouais. Tu viens juste de me réveiller. Dit-elle en baillant.

- Pardon. M'excusai-je.

- C'est rien. Entre. Dit-elle.

Je lui souris et entrai son appartement. Il y avait un canapé à ma gauche et une télé sur le mur d'en face. Au milieu de la pièce il y avait une cuisine, à ma droite il y avait un couloir qui donnait sur les chambres et la salle de bain.

- Eloïse. Dis-je.

- Ummm. Dit-elle.

- Je ne savais pas à qui en parler. Commençai-je.

- Parler de quoi ? Demanda-t-elle.

- De ce qu'il m'arrive. Je contrôle plus rien. Je suis à bout, je craque. Enchainai-je.

- Calme toi Thomas. Dit-elle.

Ma respiration commençait à être saccadée. Je m'écroulai pas terre. Eloïse se rua sur moi. Je tremblai, je m'efforçai de ne pas pleurer.