Discussion

55 4 1
                                    

Après dix minutes de marches assisté nous y somme enfin parvenue, par chance il n'y a personne.

Eli :

S'il te plaît assis toi, fais attention bouge pas.

Harry, installe Alix sur le lit d'à côté s'il te plaît et attrape moi des bandages.

Harry :

Tout de suite !

Je cherche dans les étagères des compresses stériles, en trouvant le matériels qu'il me fallait je me lave les mains et débute les soins en commençant par Alix.

Eli :

Comment tu te sent ?

Alix :

J'ai affreusement mal au crâne...

Eli :

En même temps ta chute n'a pas était délicate.

Elle aurait pu te donner un oreiller !

Alix :

Qui ?

Eli :

Bah t'a chute voyons !

Alix :

Bahaha ! Tes con. En tout cas merci...

Eli :

T'inquiète pas.

Je désinfecte sa plaie et lui applique un pansement et nettoie le reste de son visage puis fini par un bandage en passant sous ses cheveux pour le cacher.

Alix :

Dis moi qu'est ce qui ce passe avec Basile, c'est tendu entre vous... *Dit il dans un murmure*

Eli :

C'est... Compliqué... J'étais rentrée tard vendredi et on c'est engueulés et il a fait un truc qui m'a pas plus donc je l'ai appeler par son prénom et son nom...

Alix :

Ouch...

Eli :

Ouais comme t'a dis et donc je suis restée le week end entier dans la chambre ça m'amuse pas car il est mon seul meilleur ami mais j'ai eu un traumatisme... Et la seul fois ou je suis sorti c'était hier pour prendre l'air j'ai était au parc pour essayer de faire mon dm mais j'arrivais pas jusqu'a ce que -

Je m'arrête avant de faire une boulette, on nous entendez pas. Harry et Basile parlaient dans leurs coins j'étais donc tranquille avec Alix. Il me transperçait de son regard.

Alix :

Jusqu'à ?

Vite une connerie !

Eli :

Jusqu'à ce que les arrosage automatique s'enclenche !

Il est peu convaincu mais rigole quand même.

Alix :

Pas de bol, mais tu devrais lui en parlais. Crois moi quand il est comme ça sa veut dire qu'il en es malade et qu'il culpabilise. Et si ta besoin de parler je suis là ok ?

Je baisse la tête, j'avais tellement peu l'habitude de côtoyer des personnes autres que la famille royal et le personnel que quand nous étions blessés par des mots ou gestes tout ce qu'on pouvait faire c'était d'encaisser et pleurer une fois le soir venu.

Mais...Qui Est Tu ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant