Mais...Qui Est Tu ?

Nouveau Départ

Ça va bientôt faire 5 heures que je suis dans ce vol, je m'extirpe de mon sommeil et regarde mon environnement, cette partie de l'avion est luxueuse. Elle a des canapés en cuir ainsi qu'un bar.

Je me détache et me dirige vers lui pour me rafraîchir. En m'installant sur un tabouret sans m'y attendre un énergumène sors de sous le comptoir je manque de faire une crise cardiaque. Tellement que je colle ma main sur la poitrine pour voir si mon cœur bats toujours.

???:
Je savais que j'étais beau mais pas au point de provoquer des crises cardiaques !

Elizabeth:
Mais ça va pas de débarquer comme un couscous sauvage ?!

???:
Je suis désolé de t'avoir fais peur.

Mon interlocuteur est un jeune homme plutôt grand et mince, il a les cheveux courts et de couleur rose, un grain de beauté se trouve au coin de sa bouche se qui lui donne un air angélique, ses yeux sont bruns. Un piercing est logé dans son sourcil droit.

???:
Pardon j'ai oublié de me présenter, je m'appelle Basile Sparkle.

Il me tends la main, je lui rends le geste en souriant.

Basile:
Et toi ? Tu es ...?

Elizabeth:
Elizabeth Conan.

En réalité mon nom de famille était Pittsburgh mais si je le lui disais il y aurait de forte chance qu'il me reconnaisse.

Elizabeth:
Dis moi d'où vient tu pour avoir un accent aussi fort et quel âge à tu pour être derrière un bar ?

Il ne dit rien et éclate de rire, ce geste me laissa perplexe.

Basile:
Oh mon dieu, je n'avais pas rit comme ça depuis un moment, je viens d'Australie et je n'ai que 17 ans.

Elizabeth:
Et tu travail en tant que serviteur ?

Il fais mine d'être outré ce qui m'arrache un ricanement.

Basile:
Je te rassure tout de suite ce n'est pas le cas, enfaite je me suis introduit dans cette partie de l'avion car je cherchais à boire et c'est là où j'ai découvert ce petit bijou de bar.
Je ne fais pas parti du personnel. Mais à t'écouter j'ai l'air d'un valet ou un truc du genre pour les richous ou les bien fortunés de la haute, alors en quoi puis je vous aidez vôtre Altesse?

A ses mots, mon cœur se mit à paniqué, avais je dis le mot de trop?

Basile remarqua mon état et s'empressa de changer de sujet.

Basile:
Hé hé calm down, je rigolais! Wow pardon de t'avoir mis dans cet état je n'ai pas réfléchis. Mais au fait je t'ai donné mon âge mais toi t'en a combien j'ai un gros doute.

Effectivement, les gens ne savaient jamais quel âge j'avais. Tout simplement car je faisais jeune alors que j'avais comme lui 17 ans, mes cheveux roux et mon regard océan en trompait plus d'un et mes tâches de rousseur n'aider pas, soit on me donne 14 ou 21.

J'avais par habitudes de sourire et de rire énormément enfin... C'était avant que mes parents ne veulent me marier par obligation....

Elizabeth:
J'en ai 17 et oui je sais je ne les fais pas.

Basile :
Au contraire tu les fais.

Elizabeth:
T'es bien le premier à me le dire.

Basile:
Pourtant. Bon pourquoi tu vas en Amérique ?

Elizabeth:
Envie de changer d'air et toi?

Basile :
Je pars m'y installer définitivement, tu connais quelqu'un en Amérique ?

Je réponds pas il contourne le comptoir et me donne une boisson que je pris volontiers il en profite pour se mettre à côté de moi.

Elizabeth:
A vrai dire non je suis partie sur un coup de tête.

Oui bien sûr ça doit être ça Eli tu te faisais courser pour sauver ta peau et tu t'es dites au bah tiens je sais pas où je vais pourquoi pas l'avion sans avoir aucune affaires alors que de base tu voulais juste rester dans un arbre pour leur échapper !

Il prend une gorgée en me regardant avec des yeux pétillants, il y a pas à dire c'est vraiment un beau garçon.

Basile:
Je vis en Géorgie dans la ville de Savannah, j'ai un loft qui n'est pas loin du lycée. Tu peux venir t'y installer comme ça, ça te permettra de démarrer sur de bonnes bases pour ton nouveau départ, tu en dis quoi?

Sa proposition me laissa sans voix, nous nous connaissions à peine et pourtant il me proposait son hospitalité...

Elizabeth:
Non je ne peux accepter...

Basile :
En réalité tu n'a pas le choix, je ne vais pas te laisser papillonner seule dans un nouveau pays si en plus de ça tu n'a pas d'affaires et personne chez qui allez !

Je soupir longuement, je venais de le rencontrer et je l'aimais bien. Son comportement ressemblait à un enfant capricieux.

Il avait raison, cela pourrait faciliter ma nouvelle vie comme une personne «normal» je fini donc par accepter.

Il saute de joie et me pris dans ses bras, gêné car n'ayant pas l'habitude de contact physique je me raidis et rends son étreinte avec difficulté.

Basile:
Rappel moi de travailler la notion d'être tactile car c'est une catastrophe là.

Nous rigolâmed et continuâmes de parler pendant le reste du vol, je venais de me faire ce qu'on appel un ami.

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Voilà pour le chap 2 j'espère qu'il vous a plus rdv demain 😉🧡