Chapitre 7

30 2 26
                                    

Point de vue Miguel :

Teresa : Qu... Quoi ?

Miguel : Tu devrais garder cette robe.

Je ne comprends pas une chose. Pourquoi elle a l'air de ne pas avoir confiance en elle ? C'est quand même l'une des femmes les craintes du Mexique, et tous les hommes sont à ses pieds.

Tous les hommes sauf moi bien sûr. Les femmes ça m'intéressent pas. Je dois vivre que pour ce pour quoi j'ai été formé depuis mes 8ans : le Cartel.

Teresa : parce que tu t'y connais en mode maintenant?

Elle se tient devant le miroir, entrain d'analyser la robe. Je m'approche d'elle jusqu'à me tenir à son niveau derrière elle.

Miguel : personne n'a besoin de s'y connaître en mode pour apercevoir que cette robe te... te va à merveille.

Putain j'ai pas vraiment dit ça ?

Elle allait dire que chose mais je lui coupe la parole au vu du malaise qu'il y'a déjà dans la pièce.

Teresa : Je te laisse choisir ce que tu veux, je vais t'attendre dans la voiture .

Point de vue Teresa :

Il est à présent sorti de la pièce. Je vais finir par le tuer à force de me couper la parole.

Je me regarde à nouveau dans le miroir.

« Cette robe te va à merveille »

Il m'a vraiment dit ça? Non c'est certain il a dit ça pour que je me dépêche de choisir.

(.....)

Nous sommes à présent tous les deux dans cette voiture. J'ai pris 5 robes. Je voulais prendre 4 de base mais Javier est revenu avec une autre robe et m'a limite forcé à le prendre. Je ne sais pas si j'oserai la porter un jour sur mon corps.

J'ai aussi pris des tailleurs pantalons, 6. Et j'ai également pris quelques hauts et quelques pantalons cargos, en jeans et en cuir.

Miguel : Si on m'avait dit que faire du shopping avec une Vargas me coûterait la peau des fesses, j'y aurais pas cru.

Dit-il sous un ton humoristique.

C'est vraiment Miguel que j'ai à côté de moi là?

Moi : Oh je t'ai ruiné ? Tu vas te retrouver à la rue ?

Il rigole. Il rigole?? J'ai l'habitude de voir un homme froid avec le regard vide, aucune émotions. Mais là c'est tout le contraire.

Miguel : t'as pris la robe ?

Moi : ouais.

Et là il démarre sans plus rien dire.

22h00

On vient juste de rentrer dans la villa. Sur le trajet, on s'est dit qu'il fallait discuter les termes de notre contrat, parce que oui à un moment donné fallait le faire.

Miguel : Alors ?

Teresa : On en parle demain veux-tu ?

Miguel : Comme tu veux.

Il rentre dans sa chambre et je fais pareil.

La Princesa de la cocaina Où les histoires vivent. Découvrez maintenant