-"Tu veux dormir ici ?" demanda Alexandra
-"T'es sûr que ça te dérange pas ?"
-"Bien au contraire"
-"Pour l'instant c'est peut-être mieux si je dors sur le canapé ? Car je sais que ça peut prendre du temps de regagner la confiance de quelqu'un"
-"Euh oui d'accord,vas-y entre"
Alexandra donna tout ce qu'il fallait à Eli pour qu'elle dorme bien.
-"J'espère que ça t'ira"
-"Oui ne t'inquiètes pas"
-"Ah et la salle de bain est juste là au cas où"
-"J'ai rien emmener Alex"
-"Ah oui c'est vrai,bouge pas je vais te chercher un truc"
-"T'es pas obligé tu sais"
Alexandra lui ramena un pyjama.
-Tiens,met ça"
-"T'étais pas obligé,mais merci"
-"Bien sûr que si,j'accueille bien mes invités"
Eli rigola et se dirigea vers la salle de bain.
Alexandra alla donc s'allonger dans son lit et s'endormît.
Pendant la nuit,Eli se réveilla et décida d'aller rejoindre Alexandra dans son lit.Alexandra remarqua direct la présence d'Eli et mit sa tête sur son épaule et se rendormit aussitôt.
Eli la regardait et elle était heureuse d'être ici avec elle.
Toutes les deux dormaient dans les bras de l'une et de l'autre.
Le lendemain matin,quand Alexandra se réveilla Eli n'était plus là,elle était partie sans rien dire.
Mais elle avait laisser un mot sur la table de chevet.
C'était écrit:
"Je sais que tu es ma moitié et tu le seras toujours,je reviendrais très bientôt.
Eli."
Après avoir lu ce message,Alexandra se mit à genoux tout en aillant les coudes sur la table.Elle commença à pleurer,encore une fois.Elle ne comprenait pas pourquoi Eli l'avait laissé et pourquoi très bientôt,pourquoi pas maintenant ? Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait.Elle était en colère mais elle était aussi triste.Elle avait peur qu'Eli ne revienne jamais.Elle se posa un tas de question et se remit en question.Elle aurait aimée que ces disputes n'existent pas et elle aurait aimée aussi la croire quand elle disait qu'elle ne voyait personne d'autre.
Alexandra savait qu'Eli n'était pas comme les autres,elle voulait juste son retour et au plus vite.
Elle pleura alors toutes les larmes de son corps,toujours avec le mot à la main et en étant par terre effondrée.
Était-ce donc ça aimer ?
