J'avais 15 ans .. je t'assure je n'étais pas plus vielle que ça.
A cette époque j'étais une jeune fille encore douce.
J'avais encore des convictions , des rêve .. je croyais en l'amour.
Et puis.. et puis je t'ai rencontré toi.
Ta tout foutue en l'air, une tempête au canada , jamais non jamais je n'avais autant eux l'estomac retourné.Si aujourd'hui je devais te d'écrire
Je parlerai de tes main forte et rugueuses souvent taché de sang.
De cette odeur de tabac froid si forte qui te suivait partout et de c'est vêtements noir que tu portais tout le temps après la mort de tes parents.
Oh et je n'oublierai de dire quelque mots sur ton regard.
T'es pupilles couleur passion qui avait réveiller en moi l'étincelle d'un feux qui deviendra plus violent en grandissant.
Mais ton caractère.. ton caractère aurait pû faire fuir une armée entière.Pourtant moi .. du haut de mes 15 ans moi je t'aimais comme un rois.
J'aurais pu te suivre n'importe où.
J'étais prête à n'importe quoi.
T'en et si bien que j'ai fini par ne jamais t'oublier quand tu a disparue.
Ils disent " Oublie le Julia il ne reviendra jamais et .. de toute façon tu est beaucoup trop jeune tu ne sais pas ce que c'est l'amour "Mais moi je savais, je le sais.
Quand ton estomac brûle, quand tu a le gorge en deux et la poitrine endoloris, quand tu n'arrives plus a dormir a cause d'une seul personne.. c'est .. de l'amour .. non ?J'avais donc 15 ans .. je sortais simplement de mes cours du matin quand je t'ai aperçu accroupie dans la rue.
Tu pleurer , tu pleuré tellement.
Quand quelqu'un pleure comme ça , passé juste à côté c'est comme regarder quelqu'un de presque mort et ne pas l'aider.
Je n'ai pas dit un mot .. je me suis assis au sol près de toi.
Et tu n'a pas parlé.. tu a juste posé ta tête sur mon épaule.
Dieux que se souvenir peux être à la fois réconfortant et douloureux.J'avais 15 ans seulement quand tu a pris la décision de me payé un café et moi j'ai pris celle de l'accepter.
Tu ne m'a pas raconter ton histoire tout de suite.
A vrai dire je ne connais que très peu de choses sur toi.
Tu m'a expliqué que tu étais marié tu avais eux des enfants pour faire plaisir a tes parents.
Que ton rêves a toi c'était d'enseigner les sports de combats.
Et moi toute émerveillé que j'étais je t'ai écouter parler sans t'entendre.
Ta voix me parvenait sans comprendre les mots.
Il faut dire que tu étais vraiment beau.Rougissant légèrement a chacun de tes rire ou compliments.
J'ai voulue faire partie de ton monde.
Je voulais avoir une place spécial pour moi dans ta vie.
Je voulais que tu m'embrasse comme si j'étais là dernière personne de l'univers.
Ou l'étoile qui guide ta Vie.On n'a commencer a se voir régulièrement, et mes amis n'aimait pas ça.
Il disait du mal de toi et pensais que nos rendez-vous était perverti.
Mais te voir raviver la flamme dans mon cœur.Un jour je suis venu te voir.. armé d'une lettre et d'un présent pour te divulguer mes sentiments.
J'avais tout prévu, la table éloigné au soleil, le jolie décor autour, la musique d'ambiance, le café que tu préfère.
Je m'étais apprêté pour l'occasion d'une jolie robe couleur passion.
Assis sur ma chaise je t'ai attendu si sagement.
Quand tu est enfin arrivé.. c'était accompagné.
Ta femme , grande belle et froide , je n'avais aucune chance a ceux jeux la.
Elle avait plus d'expérience que moi.
Tu me l'a présenter avec tant de fierté.. que j'ai ravalé ma dignité et lui ai souris pour lui dire mon nom.
Mais elle a du sentir.. le long frisson que j'ai ressenti.
C'était très loin d'être fini.Un jour alors que je marché je te vis dans la rue marché tout gaîment.
Tu n'avais semble-t-il plus besoin de moi c'est de la colère qui monté.
Comment osé tu me trahir.
Je mis mon sweat a capuche pour éviter les regard douteux et te suivie jusqu'à chez toi.
Je regardais la devanture de la maison.
Elle semble si charmante, on ni entend même le rire des enfants.
Ta femme et toi avait l'air heureux.
Mais tu dois me comprendre.. elle n'était pas faite pour Toi.J'avançais de quelques pas, a la recherche du bon endroit pour entré chez Toi.
Finalement je trouve une entrée a l'arrière de la maison.
Je viens entré a l'intérieur me glissant comme un serpent.
Ça sentait délicieusement bon .. elle avait cuisiné ? Oh j'ai eux si peur.. je suis sur qu'elle a voulu t'empoisonné ! Pardonne mes geste tu c'est .. je n'avais que 15 ans ..J'ai saisi un couteau dans le tiroir et me suis approché de la femme qui derrière la cuisine chantonner.
De quelle droit ? Comment pouvait elle osé cuisiner pour toi ? N'avait telle pas encore compris.. que j'étais le grand amour de ta vie.
Sans aucun regret ma main vint s'élancer.
Le couteau se plante dans le crâne cette fois je le retourne bien pour m'assurer qu'elle ni survivra pas.
Je croyais repartir comme j'étais venu mais non .. il y avait cette enfant.
Un soupir agacé sortira de mes lèvres.
Ton attention devais être centré sur moi , c'est enfants aller nous gêné pour vivre heureux.
Le parti garçon partie en courant dans ça chambre et je le suivit en un instant bloquant la porte avec mon pied avant qu'il ne la ferme a clefs.- Je suis désolée mais c'est fini pour toi.
Seront les dernier mots qu'il entendra.
Je mettrai un premier coup mais a la vue de cette si belle couleur rouge je serai pris de folie.. je mettrai 5 autre dans le ventre du gamin.
Mais tu c'est .. je n'étais pas responsable de les acte .. je n'avais que 15 ans.S'en suivra le tour de la petite sœur et enfin toi.
Mais a ma vue tu semblait fâché.
Pris entre l'incompréhension et le mépris.
Plutôt que de me prendre dans les bras me remercier je t'entends me maudire serrant ta femme dans tes bras.
T'es poings ensanglanté, tes larme qui coulait pas dizaine.
Mon sang lui bouillonnée.
Tu étais entrain de me trahir sous mes yeux.
Tu n'arrivais pas à voir que j'étais là personne parfaite pour toi.
Que mon amour était plus grand que celui de cette .. ne disons pas le nom.Mon cœur s'arrêta en entendant les sirène de la police.
Si je pars tu partiras avec moi.
Je melance une dernière fois et te plante le couteau dans le coeur.. mais je t'ai loupé.
.. je le sais de la prison où je suis j'ai pu retrouver ton nom.
Je serai bientôt libéré.. alors je viendrai te faire comprendre.. qu'elle douleur c'est d'être aimé.J'espère que tu va lire cette lettre jusqu'à la fin et me pardonner.
Après tout.. je n'avais que 15 ans ..FIN
" Si a 15 ans on n'est responsable de c'est acte pendant un meurtre.
Alors le viol c'est pareil.
Un nombril n'est pas sensé déranger un garçon de 15 ans a l'école. "
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J'avais 15 ans ..
AléatoireJulia est amoureuse. Mais elle ne connait pas les limites. Une jolie lettre et sons des saut d'humeur de la jeune fille.