Chapitre 71 🌟

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PVB DE CÉLIA

Moi* : dis moi que je rêve

...... *: Non Mi amor c'est bien moi Idrissa

Moi *: Pitié pincez moi

Idrissa*: Ne t'inquiète pas tu vas t'y faire on a tout notre temps

Amanda*: On ne peut pas gratter à ce point

Idrissa *: Amanda ça faisait longtemps. Tu m'as manqué

Amanda *: Pas moi .

Mariam : C'est le Idrissa que tu nous parlais

Moi : Oui le fils de pute

Tess : Merde on est mal

Amanda:  Très mal

Idrissa*: Bonjour tata Daniella vous allez bien

Tata Daniella*: Ne me parle surtout pas .

Idrissa*: Oh mais tata , il faut bien qu'on se parle puis qu'on reste pendant un bon moment ensemble

Tata Daniella*: Je plains ta mère

Idrissa*: Pourquoi????

Tata Daniella*: Elle doit regretter d'avoir mis un tel individu au monde

Idrissa*: ....... De toute les façons, je suis là, fait faire avec.

Moi *: Pourquoi revenir maintenant ?

Idrissa*: Parce que j'en avais envie.

Moi *: Tu me dégoûte

Idrissa*: Moi je t'aime encore

Moi *: sale chien

Maman : Les gros mots devant les enfants

Moi : Désolée

Idrissa*: Et vous la bas , emmenez les enfants en haut avec les adultes ' Tata Daniella, Maman, Ton Richard '

Homme 1*: oui boss

Idrissa*: Attendez .... Hmmm emmenez aussi Marcelo, sa meuf , Brian .

Homme 1*: compris

Idrissa*: Toi la bas

Homme3*: oui !

Idrissa*: Emmène les deux blesser dans la cave

Homme 3 *: bien patron

Idrissa*: Fatou et Nesrine, occupé vous de Tess et Mariam pour l'instant. Je veux parler un peu avant ma bien aimée

Eux *: Ok

Tout le monde sort de la pièce me laissant seul avec se gros psychopathe.

Idrissa*: Tu ne veux pas savoir ce qu'il m'est arrivé depuis ses dernières années

Moi *: Je m'en bats les reins

Idrissa*: Ahhh les Marocaines toujours aussi agressives .

Auteur : Je vous aime les Marocaines, rien de personnel. 😘

Moi *: Ferme ta gueule c'est mieux au lieu de me balancer des conneries pareil

Idrissa*: Parle bien aussi je suis gentil mais j'ai des limites

Moi *: Ahhhh tu n'es pas le seul à avoir des limites abrutis

Idrissa*: Je t'aurai prévenue

Il m'attrape par le coup et me balance contre le mur . J'ai senti mes os se brisé,  j'avais un mal de chien

CHRONIQUE DE TESNIM : Simple hasard ou le destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant