I gotta get this off my chest to let it go

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Un son strident me fit sursauter et malheureusement revenir à la vie
réel.
Je me lève étourdi de mon lit et manque malencontreusement de trébucher sur mon chat.
De l'autre côté de ma chambre, qui est au passage sombre et mal éclairer
, il y'a la cuisine ou mes parents sont entrain de se disputer.
- Comme d'habitude, me lance ma conscience.
Ferme la un peu toi !
Mes jambes élancés me mennent vers la porte de ma chambre que j'ouvre sans grande joie.
Des hurlements, ceux de ma mère plus précisément, ce font entendre dans toute la maison, des insultes a tout allures font leurs chemins vers mon beau père , qui lui ne s'empêchent pas de répondre par des coup, il releva sa main pour gifler ma génitrice mais je me rue devant elle et sa main claqua avidement ma joue, la rendant plus rouge qu'elle ne l'ai déjà, venant rejoindre les autres traces de coup sur mon corp.
Ma tête tourna violemment du au choc de sa main sur ma joue et je me retrouve étaler sur le sol, entre ses deux monstres que la vie a créé.
Ma sois disant mère me relève d'un coup par mon pull causant à ma tête de tourner, encore étourdi par les coups.

- Tu n'est qu'une salope, une petite pute, tu entend ?!
Me hurlait - elle

J'hochai légèrement de la tête.

- Je ne te veux pas chez moi, tu ne me sers a rien, tu ne m'apporte que des problèmes !

Elle me jeta par terre et me rua de coup sous le regard fier de sont mari, coup de poing, coup de pieds, tout s'enchaînait.
Avec le peu de forces qu'il me reste je me lève en vitesse pour regagnés ma chambre tout en boitant. Je verrouillai rapidement la vieille porte usés de ma chambre et me laissait glisser contre elle en pleure.
J'entendis des pas marchant vers ma chambre et je mis ma main sur ma bouche pour étouffer mes suffoquement.
Tout ceci était ma vie quotidienne, dés le matin tout se passait très vite et je ne dormais que très rarement à la maison et les rares fois, se déroulait de cet façon.
De grands coup frappèrent à ma porte, me faisant au passage trembler et je m'éloigne précipitamment de la porte pour me réfugier en boule au coin de ma chambre pour être le plus loint de la porte.

- Ouvre la porte petite pute !

La voix de mon beau père résonnait dans ma chambre.
Je me couvrais les oreille pour ne pas l'entendre et restait la, a trembloté.
Insignifiant, je suis insignifiante !
Les coup continuèrent à frapper contre ma porte et a un moment je crus qu'elle allait céder mais les pas s'éloignèrent et je me sentis mieux. Pas pour longtemps malheureusement je le savais, je me dépêche de me relever de mettre des vêtement convenable et de m'essuyer rapidement le visage avec le dos de ma main histoire de pas voir que j'ai pleurer mais on peut voir clairement mais yeux rougis. Je pris un sac ou je fourrais des vêtement, mon portable avec mon chargeur,mes écouteurs et le peu d'argent que je gagnait grâce à mon boulot de serveuse. Je mis mes converses et j'enfilais ma doudoune car en ce temps de décembre il faisait très froid.
Je pris mon chat dans mes bras et balançais mon eastpack sur mes épaules, j'ouvris ma fenêtre et m'assis au rebord de celle-ci . Un grand arbre avec une épaisse branche se rapprochait de la fenêtre de ma chambre. Ma chambre est au premiers étage, au pire, je risque pas grand chose, si ? Je me mis debout en équilibre et pris de l'élan pour sauter et atterrir sur la branche la faisant légèrement trembler, je m'accrochais aux écorches et glissais le long du tronc en atterrissant coup sec au sol.
Je relevais la tête vers ma chambre lorsque j'entendis ma porte se faire littéralement défoncer.
Je ne perdis pas une seule seconde sachant très bien que c'était mon putain de beau père qui voulait me faire la peau.
Je me mis à courir très vite pour rejoindre ma voiture, une vieille Audi qui lui arrivait de me planter quelques fois mais comme dans des situation comme celle ci elle était très utile !
J'ouvre la portière et lance mon sac sur les sièges arrières et je poses délicatement mon chat a côté de mon sac.
Je m'assoie a la place conducteur et roule jusqu'au restaurant ou j'ai l'habitude de travailler.
Je repense à ma vie...je gâche tant d'années à vivre ainsi, je ne pourrais plus tenir très longtemps, les marques présente sur mes jambes et mes bras que je dissimule avec des vêtement ample le prouve, ces coupures qui me permettent de m'évader du monde réel.
J'ai essayé maintes et maintes fois d'arrêter mais cet envie de me "nourrir" en quelque sorte m'appelait et je ne pouvait pas y résister !
Je tournais à gauche du rond point et je pouvais voir le grand panneau clignotant jaune et orange du fast food.
Je n'avais pas d'autre endroit ou allez, pas de famille, pas d'amis, et du haut de mes dix sept ans, mon beau père m'avais interdit d'allez a l'école pour les aider à payer le loyer mais moi je pense surtout que c'est pour payer la drogue de ce batard.
Je pénétrais dans mon lieu de travail en aillant garer ma voiture et je rentrais dans les vestiaires pour mettre mon uniforme qui consistait à une blouse blanche et un jean slim noir.
Je refermais la porte de mon casier et me retournais face a l'horloge qui émettait des "clic" à répétitions.
Il était aux alentour de 13h00, a en déduire les nombreux allés retour des employés,le service allait bientôt commencé.
Je saluais chacun d'entre eux et pris place à la caisse lorsque j'entendis la vois de René.
Lorsqu'elle me vit elle courrai vers moi et me pris dans ses bras m'enlaçant très fort.

René est une femme magnifique et de bon cœur qui travail au fast food avec moi, elle a su m'accueillir durant les moment difficile et je lui en suit énormément reconnaissante pour cela.
René connait toute mon histoire et m'aide chaque jour à m'enssortir.
J'enfouis ma tête dans le creux de ses épaules et vidais toutes les larmes sur elle, profitant du fait que le restaurant n'avait encore pas ouvert et que les autres employés était encore au vestiaires.
Toute la tristesse et les émotions qui m'avait traverser, je les vidais sur elle.

- Qu'est ce qu'il ce passe ma belle ?
Me demanda t'elle
- René....je..

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