Chapitre 11: Quand tout va mal

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Avant de lire ce chapitre je tiens a vous prévenir que ce chapitre parle d'un sujet violent qu'est le suicide, donc si vous êtes sensibles ou pas à l'aise avec ce sujet je vous pris de ne pas le lire. Le reste vous êtes prévenu.


Journal,

  Cela fait un moment je ne t'ai pas écrit. Il s'est passé quelques truc depuis le concert. J'ai recommencer mes périodes dépressives et avec le travail cela ne s'est pas arranger. Moi qui avais pensé avoir trouver un travail qui me plait et où l'on se respecte les uns les autres. J'avais tout faux. J'ai fini par démissionner et aussi péter un câble là-bas. Cela a enchainer le stress de trouver un travail d'urgence, d'enchainer des entretiens stressant car devoir expliquer sa situation, se prendre des refus de partout et d'accepter le premier qui te dit oui. Aussi le début des loyers impayé alors que tu avais trouver une maison et que tu devait payer double loyer. Le seul moment où j'ai pu me sentir bien à été lors de ma semaine chez une amie dans les montagnes, cela m'a fait beaucoup de bien. J'ai commencer mon nouveau travail mais cela ne me plait pas du tout, je suis fatigué , je ne sais même pas où j'en suis, je suis complètement perdu. Et c'est a ce moment que j'ai faillit commettre l'irréparable. 

Qu'ai-je fait exactement? Très bonne question. Et je vais y répondre. 22 Septembre 2023 au soir. Tout allait bien jusqu'à que je commence a angoisser à l'idée de devoir aller travailler le lendemain de comment les gens vont me regarder, ce qu'ils vont dire, etc. Puis j'ai commencer a perdre le contrôle de moi-même, comme dans un état second j'ai voulu en finir. J'ai voulu fuir mes problèmes et me fuir moi-même. Je m'en suis rendu compte lorsque je n'arrivais pas a dormir et que je commençais a pas me sentir bien physiquement. J'ai donc appeler Lucy pour raccrocher après car je n'arrivais pas a parler, j'ai envoyer des messages a mes amies ne savant pas quoi faire.. J'ai fini par appeler mon frère en pleure, il a su rester calme et m'expliquer ce que je devais faire. De peur d'appeler les pompier et que tout le monde soit au courant dans le voisinage, j'ai appeler ma mère, puis elle m'a conduit aux urgences. A ce moment si j'avais su ce qui allais ce passer je n'aurai jamais appeler. 

Arrivés aux urgences, ma mère a expliquer ce qui s'est a peut près passer et la dame limite ma engueuler car je ne me rappelais pas de ce que j'avais pris ni de combien. Ensuite on m'a emmener dans un box et on ma demander de me déshabiller et de me coucher avant de me laisser seul dans ce box. Ensuite, des personnes sont arriver et mont mit une perf de je ne sait quoi sans rien m'expliquer et sont partit en éteignant la lumière. Je ne savais pas ce qu'il se passait et je n'avais aucune force en moi. Quand arrive le moment où l'envie de vomir me prend. J'ai n'ai eu la force que de le tourner avant de me vomir dessus et de trembler ne comprenant pas pourquoi je vomissait, puis une dame arrive et me gueule dessus me disant que je pouvais me déplacer pour vomir dans le lavabo. Ils m'ont ensuite fait marcher jusqu'à une chambre sans rien me dire. Je ne tenais presque pas debout et j'ais remplis de vomis. 

On ma ensuite changer et dit de me coucher dans le lit et c'est ainsi que j'ai fini par vouloir qu'on abrège mes souffrance tellement je vomissait. J'ai fini par m'endormir en faisant un câlin a la cuvettes des toilettes comme a une soirée qui a mal tournée. Personne dans la nuit n'es venu e voir pour m'expliquer le pourquoi du comment ce n'est que vers 7h30 je pense qu'une infirmière est venu me proposer le petit déjeuner et savoir si j'avais bien dormit. Au final je n'ai pas manger avant midi et je n'ai su que dans l'après midi après que l'ont m'ai dit que j'aurai plusieurs perf et que je restait en observation jusqu'à quatre heure et que je devait voir un psy qui devait me parler savoir si je serai apte a partir ou non. 

je ne vais pas vous cacher que c'était long au point que je n'avais pas le droit de dormir, et que je n'avais pas le droit de bouger du lit, et rien pour m'occuper appart fixer le mur car les volets fermer. Si je pouvais entendre les conversations des infirmière qui parlais de moi juste derrière la porte en rigolant de ma tentative. Mais par contre ce ne fu pas les idées qui manquait pour recommencer car j'avais l'embarras du choix pour recommencer comme les câbles a porté de mains et l'accès a la douche aussi.

Au final j'y ai passer encore une nuit car le quatre heure ce n'était pas de l'après midi mais du matin. Et le psy qui devait venir n'est pas venu. On ma dit que je le verrai le matin. Le matin arrivé on me dit de prendre ma douche mais temps que je n'avais pas vu le psy je n'avais pas le droit de m'habiller. Au lieu de voir un psy une infirmière est venue pour une énième prise de sang car un oublie de leur part de vérifier quelque chose dans mon sang. Ce n'est qua midi on me dit que je mon état est bien et que le rapport psy est bon aussi et que j'allais pouvoir partir. J'ai encore attendu et même manger le repas du midi avant que l'on appel quelqu'un pour venir me chercher et me redonner mes affaires. 

Conclusion, aucun arrêt de travail, aucun suivis psy, ni même de psy tout court, je suis retourner travailler le dimanche avant de retourner au médecin de garde car j'avais rechuter. 

Le médecin de garde avec deux heures d'attente pour au final me dire d'aller aux urgences d'une autre ville car ce n'étais pas mon secteur pour être pris en charge. Chose que j'ai fait une fois arriver hôpital en démolition. Détour dans celui de la ville pas loin, six heures d'attente pour revenir au point de départ car ils ont pas de psy. Et en même temps apprendre que le psychiatre qui étais censé me suivre ne fait aucun suivis. 

Avec tout ce qui se passe en ce moment, on est censé s'en sortir en souriant? Et bien apparemment oui. 

Aujourd'hui cela fait bientôt un an que j'ai commencer mon traitement hormonal, ma voix a commencer a changer les poils aussi ont commencer a pousser etc., Et avec tout ca les problèmes qui me suivent mais on va y croire on ne peut faire que ça, comme on dit l'espoir fait vivre.


Si vous êtes dans une impasse, que vous ne vous sentez pas bien, que vous avez les idées noires, parlez en a quelqu'un. que se soit votre famille, vos animaux votre doudou, vos amis, vous pouvez aussi appeler des numéro d'aides qui sont gratuit 24h/24h 7j/7. Même si vous avez du mal a vous exprimer parfois parler en prenant son temps aide beaucoup. Il existes des numéro d'écoute si vous en sentez le besoin appeler les, ces personnes sont la pour vous écouter sans jugement. Et surtout ne lâchez pas, vous pouvez y arriver même si cela doit prendre du temps. N'oubliez pas vous êtes tous formidables donc courage vous pouvez vous en sortir!

Ma vie, mon parcours, mon histoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant