recueil de nouvelle

première Nouvelle

Vous êtes vous déjà sentie vide ?Comme si , même si vous êtes entouré du mon entier, vous étiez seule sur terre.
Une envie de crier sans raison ? De pleurer jusqu'à en avoir un mal de tête des plus horribles ?
Que le monde entier vous fiche la paix ?
Une forte envie de sauter par la fenêtre de votre cours d'espagnol peut-être ?
Dans se cas , bienvenue au club !
Mais savez-vous que le pire dans tout ça c'est que vous pouvez en parler à
personne.
Car , qui vous comprendrez ? Vous êtes peut-être fou après tout !
Qui d'autre qu'un psychopathe pour vouloir sauter d'une fenêtre ! Ou un narrateur-

Donc la voilà, sur le toit de son bâtiment
se demandant si elle devait encore lutter ou se jeter à fin de mettre un terme à ces souffrances.
Qu'est ce qu'il l'avais amener à de telle extrémités ? Elle se le demander.
Un papa absent ?l'harcelement ? Traumatisme?

Elle ne savait pas , elle ne savait plus.

Tout ce qu'elle savait, c'était que cela avait commencé en Seconde.
Mais comment ?
Sa 3eme avait était la meilleure année de sa vie pour sûre.
Elle avait rencontré des gens formidables, n'avait eut que des bonnes notes et était tombé amoureuse pour la 1eme fois de sa vie.
Quelle merveilleux sentiment que d'être amoureux, n'est-ce pas ?
Surtout si ce sentiment est réciproque !
Mais tout a changé à l'entrée du lycée..
Peut être est-ce ça qui la rendait si malheureuse ? Un chagrin d'amour.
Mais ça m'étonnerait , elle s'était vite remis de la rupture avec son première amour.
Et ça ne pouvait pas , non plus , être le fait qu'elle ne connaissait personne car elle s'était rapidement faite de nombreuses amies.

Mais même avec toute ces amies , elle se sentait seule .
Elle avait l'impression personne ne se soucier réellement d'elle
Elle avait l'impression que tout le monde la méprisé, que tout le monde la regarder avec dédain.
Si une de ces amies avait le malheur d'oublier quelque chose qu'elle avait dit un peu avant,
Un tsunami de pensé noir l'envahissait ;

«Peut-être qu'elle se fiche de ce que je lui disais ? Qu'elle n'écoute même pas se que je lui raconte ? Peut-être qu'elle est juste amie avec moi par intérêt ?
Peut-être, peut-être, peut-être...»

"Peut-être" était devenu son mot préféré ;

«peut-être ceci»,«peut-être cela».

Peut-être devais t'elle sauter ou peut-être pas ?

Ce mot était mélancoliquement cruelle pour elle.
En plus de lui rappeler de mauvais souvenirs, il lui inventé la vie qu'elle aurait pu avoir si elle avait fait de "meilleur" choix ;

«peut-être que si j'avais fait si , peut-être que si j'avais fait ça..»
Son peut-être était monotone , son peut-être était rempli de tristesse,
quand elle le disait se n'était jamais par plaisir.
Elle était lasser de ce mot, ce mot est d'une lassitude pour elle !

Maintenant (encore) , elle était sur le bord du toit , démunie de joie, de sentiment, avec plus aucune volonté de vivre.
Avec plus aucune raison de vivre.
Elle regardait en bas d'elle, voyant une bonne dizaines de personne , réunirent en bas du bâtiment, essayant de la convaincre de ne pas sauter
Mais il était trop tard.
Elle avait pris sa décision.
Tout d'un coup, elle entendit un crainsement de la porte derrière elle.
-Salut
C'était un ravissant jeune homme, tellement beau que vos yeux brûleraient à la vue de sa beauté, avec une cigarette et un briquet à la main.
-Si c'est pour me convaincre de ne pas sauter c'est trop tard , j'ai déjà pris ma décision.
Je n'ai plus rien à perdre
-Ah mais je sais et je m'en fiche royalement, sauter si vous en avez envie, c'est votre choix pas l'mien.
Dit le BEP inconnu, en s'adossant sur le bord juste à côté d'elle et en allumant sa cigarette.
Elle était abasourdit.
-Merci..
-J'ai toujours voulu voir un cadavre de mes propre yeux de toute façon, dites vous que vous ferais un heureux.
Sans attendre une minute de plus , elle sauta , le sourire au visage.
Elle avait trouvé quelqu'un qui l'a comprenait (en tout cas , elle était sur qu'elle n'était pas folle-).
Elle pouvait partir avec sérénité.
-Pauvre enfant ,elle ne mériter pas ça n'est ce pas ? L'autrisse est cruelle..
Mais bon , ça ne répond pas à la question d'où vient son mal être ?
Qu'est ce qu'il la fait avoir envie de ce dessiner des rayures tout au long de son corps , la fessant ressembler à un zèbre ?
Et bien je ne sais pas,
Un narrateur ne sais pas tout.