Chapitre 1-Le commencement

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C'est un lundi matin, et comme tous les jours : je me prépare pour aller au lycée.
Je déjeune un gâteau accompagné d'une compote et un verre de jus de fruit.

Je me coiffe, me brosse les dents bref je me prépare.

Une fois arrivé à mon arrêt de bus, j'attends patiemment mon bus jusqu'à que je le vois arriver tout en écoutant ma musique.

Je monte dans le bus, et comme tous les matins, je m'assois à côté de Mélanie.

Qui est Mélanie ? C'est une chouette fille avec qui je m'entend bien : on a de bon délire ensemble, elle me fait découvrir sa key-pop chanter par des coréens même si ce n'est pas forcément mon style de musique.

Bref, je m'assois à côté d'elle avec son casque sur les oreilles, on se dit bonjour puis elle me parle :
- Ça va Nick ?
- Très bien et toi ?
- Non c'est pas la grande forme...
- Ah bon ? Pourquoi ça ?
- Tu regardes pas les infos ? Il y a un sort de virus qui commence à se propager un peu de partout dans le monde...
- Ça doit être un virus comme le coronavirus.
- Non celui là est pire car, à ce qu'il paraît, il n'y a aucun remède !
- Franchement je m'inquiète pas pour ça...
- Et bah tu devrais je pense...

On arrive au lycée et je regarde sur les réseaux cette histoire de virus : il y a des vidéos non trucés qui montre des gens en train de manger d'autres gens vivants , c'est horrible !
J'ai l'impression que c'est exactement comme dans ma série qui s'appelle "The runing dead" mais sauf que là : c'est réel.

Je me retourne fasse à Mélanie en confirmant que ce qu'elle m'a dit dans le bus tout à l'heure était belle et bien vrai.

Nos autres amis arrivent avec le sourire aux lèvres. Avec Mélanie, on leur a expliqué la situation : plus une mouche dans l'atmosphère.

Un lourd silence est présent dans l'ambiance qui est interrompu par la sonnerie, on se dit tous "à midi".

Pendant les cours, plusieurs avions de chasses et d'hélicoptères passent de partout dans le ciel et les profs semblent inquiets tout comme la classe d'ailleurs.

Une fois le midi, on se rejoint tous et on parle de la situation :
- Ça commence à être chaud les gars ( moi)
- Qu'est ce qu'on fait ? (Sarah)
- Moi je propose qu'on prenne la ligne D (Sam)
- Ça risque d'être risquer car qui dit que les bus ne sont pas suspendu ? (Paul)
- C'est vrai (Rayan, Ines, Lisa, Loanne)
- J'ai peut être une idée... (moi)
- Si c'est pour dire de la merde : tais-toi ! (Rayan)
- Non je suis premier degré, mon oncle a un fourgon, peut-être qu'il peut nous faire descendre à la chapelle de Cincay ?
*note : la chapelle de Cincay est le village où on vit tous pour la plupart de nous.
- Et nos parents alors ?(Melanie)
- Et bah envoyer leur un message en disant que vous êtes chez moi à la chapelle.
- Ok ça me va. ( Tout le monde)

Je demande en SMS à mon oncle notre plan d'évasion pour se barrer de la ville et il m'a cité qu'il comptait partir dans tous les cas car, si ce virus est vraiment grave, alors le gouvernement ferait bombarder toutes les villes !

Sam, Rayan, Paul, Sarah, Ines, Lisa, Mélanie, Loanne et Moi sommes tous réuni en attendant mon oncle devant ne lycée : c'est la panique !

Le virus s'est propagé dans le lycée : des gens mangent d'autres personnes comme dans ma série donc je me fis à celle-ci et mon adrénaline prend le dessus comme pour nous tous !

Je vois le fourgon de mon oncle arriver, je lui fais signe malgré la foule de personnes agitées : il nous a rejoint :
- Allez-y ! Montez !
- Merci tonton, heureusement que tu es là !

On prit la route en direction de la chapelle de Cincay. Sur la route, on aperçu plusieurs infectés du virus en train de mettre le chaos dans la ville...

On remarque plusieurs avions de chasses en se déplaçant à pleine vitesse, puis plusieurs bruits sourds retentits : ils ont bombardé la ville.

Ça doit faire plus d'une heure qu'on est dans les bouchons et ça n'avance toujours pas : tous le monde est en train de partir pour aller je ne sais où. Tout le monde est muet dans le fourgon, pas un seul bruit : tous le monde envoie les derniers messages à leurs proches avant que les lignes téléphoniques soient coupés...

On a changé de route pour éviter les bouchons le plus possible.
On arrive enfin à destination, on approche de ma maison, on la vois au loin mais malheureusement, le véhicule se fait heurter par un autre véhicule....

Mon oncle est mort sur le coup comme les passagers de l'autre véhicule, tout le monde est amoché sauf moi : je regarde mes mains ensanglantées et je touche mon front : je me suis ouvert.

On sort du fourgon tout en regardant mon oncle dans celui-ci...On rentre chez moi, tout le monde est dans la panique pour se soigner : on se précipite tous dans les toilettes pour accéder à la pharmacie...

The Way Of The DeathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant