Chapitre 10

1.1K 62 0
                                    


Une fois ma baignade terminer et m'être doucher puis habiller, je rejoins Dario dans son bureau et le voie également changer, habiller d'un costard noir, une fois assise sur une chaise face au bureau, Dario me tend un dossier et en l'ouvrant voie un mec assez boudiner et crasseux.

- C'est qui ? je demande.

- Le gars qui nous à inviter demain soir.

- Amie ou ennemie ?

- Un peu des deux, cela dépend des enjeux.

Je lis les quelques infos sur lui, marchandeur et dégoteur d'objets. En bref, le larbin qui fout son nez partout et a qui ont confis beaucoup de chose et qui profite un peu trop. Je connais ce genre de gugus, chez un de mes anciens client, c'était la taupe et refourguais des infos et même parfois le matos demander à la concurrence en échange de quelques plaisirs, en général ils font tout en douce et face aux problèmes, il n'y a plus personne sauf que celui-là m'a l'air balaise niveau manipulation.

- Il a un point faible ?

- Plusieurs mais son préférer est les femmes, souffle-t-il.

Je souris en sachant que je vais en faire qu'une bouché de ce con sur pattes. Je serais dans ces petit papiers à la fin de la soirée.

- Je vais lui faire un peu de charme et le tour est jouer.

- Tu as t'es chances, admis-t-il. Mais méfis-toi, il est malin.

- Je t'es prouver que je l'étais aussi.

Un sourire pris place sur ses lèvres en se souvenant de notre petite baignade. Nous allons ensuite déplacer mes affaires dans sa chambre pour que je m'installe maintenant et non rapidement ce soir. Je vais remettre mes affaires de toilettes dans ma valise puis en prend une tandis que Dario prend les deux autres, il nous conduit à l'étage supérieure où il ouvre une porte double et je vois un salon en premier avec une table pour manger je pense, un coin bureau puis le lit sur une estrade. Avec un beau grand lit qui accueil presque quatre personnes, je pose mes affaires et le suis me montré la salle de bain et le dressing, il décale quelques affaires et j'ai droit à un côté entier. Allant m'assoir sur le lit, je regarde autour de moi en me familiarisant avec ce nouveau lieu.

- On dîne dehors ce soir, m'informe-t-il.

- D'accord et après ?

- Je dois passer voir la boîte de nuit, mes hommes ont fait le ménage.

Je hoche la tête pour confirmer puis voie à ma montre qu'il est dix-huit heures passer donc trouvant que ma robe et mes cuissardes sont adapté, je vais juste retoucher mon maquillage dans la salle de bain puis attache mes cheveux en queux de cheval, me met du parfum puis embarque mon sac à main. Dans les escaliers Dario me pris la main en me faisant un clin d'oeil, Easton nous attends à la porte.

- Bonne soirée, nous dit-il.

- Tu passes à la boîte ? je lui demande.

- Je vous rejoins là-bas, me confirme-t-il.

Nous le saluons puis sortons dehors, une Audi R8 noire, nous attend déjà et donc je vais côté passager et Dario s'installe derrière le volant. Sur le chemin du restaurant nous discutons.

- Tu es déjà venu en Italie ?

- Pas à Palerme mais en Sicille et à Milan oui. 

- Angélo ne nous a pas dit ton âge.

- J'ai 27 ans, ne t'inquiète pas, je ne suis pas un bébé, souriais-je.

- Tu a toujours vécu avec ton frère ?

Je secoue de la tête, s'il me demande ça c'est qu'il sait que mes parents sont morts il y a un moment. Mais vu qu'il à un doute, il ne veut pas faire de gaffe et me pose la question, je suis contente quand même qu'il me pose la question, il s'intéresse à moi même si ça colle à nos personnages de fiançailles.

- En faîte après la mort de nos parents, je suis partie chez un oncle à San Diego et étant lui-même dans un gang, j'ai beaucoup appris d'eux tandis que Angélo est rester avec les hommes de notre père. Mais dans notre malheur, nous avons grandis et mûris sans incidents et une fois retrouver, ma venue dans son agence était une évidence.

- Comment c'était chez ton oncle ?

- Bien, il y avait mon cousin et on s'entendait très bien, il m'a beaucoup aidé dans mes passades compliquer et je l'en remercie.

Nous arrivons en ville et en tournant dans un virage, Dario se gara devant un restaurant, il vient me tendre son bras quand j'ouvre ma porte et me conduit jusqu'à la porte du bâtiment et dès que le portier nous ouvre, il s'incline légèrement en disant "Signore Lazari" puis un homme nous attendais derrière le comptoir.

- Dario ! Content de te voir, dit-il en nous accueillant les bras en l'air.

- Alana, je te présente Sergio le propriétaire et Sergio voici Alana ma ...

- Fiancé, s'exclame-t-il en tapant dans ses mains.

Toutes les têtes présente se tourne vers nous à l'évocation du mot fiancé, quelques curieux sortent leurs téléphones mais je ne fis pas plus attention. Sergio nous conduit à l'étage pour nous accompagner à notre table et je vis une belle table en terrasse, les lumières de la ville rend l'atmosphère magnifique, les bougies aussi. Le cadre est très romantique ce qui me surprend de la part de Dario. On s'installes et je suis admirative par tout ce qu'il y a autour de moi.

- C'est magnifique, .... je ne te penser pas aussi romantique.

- Il est vrai que ce n'est pas ma spécialité.

Un serveur vient prendre la commande de nos boissons et je pris un cocktail sans alcool après avoir survoler la carte, Dario commanda la spécialité du chef pour le plat et le serveur partie en vitesse. Nos boissons arrivèrent et nous trinquons en buvant une gorgé.

- Tu as toujours été dans la mafia ? je demande.

- Oui, de père en fils, dit-il fièrement. Depuis 4 générations.

- Jolie, je commente. Tu as du être triste après leurs morts ?

- Un peut, tu sais mon père était très stricte et niveau affection, il ne le montrait pas beaucoup, heureusement ma mère relever le niveau et grâce à elle j'ai compris que mon père m'aimer à sa façon et que chaque sentiment devait être cacher pour être toujours à l'affût, j'avais seize ans quand ma mère est morte dans un accident et mon père ses suicider quand j'avais vingt-et-un ans pour me passer le flambeau.

- Au moins, tu as des souvenirs, je dis juste.

- Oui, mais cela ne m'empêche pas de vouloir faire les choses différemments pour qu'ils soient encore là.

- Ils seraient fière de toi, je dis.

Il rit en prenant ma main sur la table puis lient nos doigts. Je regarde ma main disparaître sous la sienne et j'aime l'effet de chaleur que sa main produit.

- Mon père doit se retourner dans sa tombe que j'ai fait appelle à une garde du corp pour protéger mon derrière.

Nos plats arrivèrent et j'attends que le serveur soit hors porté pour lui répondre.

- Il faut se moderniser.

- En tout cas, je suis sûr que personne ne sera que mon garde du corps est la fille qui sera dans mon lit.

Je ris en entamant mon plat, je goute le poulet avec sa sauce et sens de la tomate avec un léger gout de vin, accompagner d'haricot verre et de pomme de terre. C'est succulent, j'adore.

- Tu aimes ?

- Evidement.

La soirée ne peut que bien se passer. Je me demande ce que le reste nous réserve.

Surtout quand on rentrera à la villa et dans la même chambre puis dans le même lit.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Chapitre 10 fini.

Bisous.

Marion.

Une garde du corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant