𝐜𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟖

554 18 8
                                    

{𝐢𝐥 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮'𝐚̀ 𝐦𝐨𝐢 𝐣'𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞𝐫 𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐥𝐢𝐭 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐜𝐞 𝐪𝐮'𝐢𝐥 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐚̀ 𝐥'𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐬𝐨𝐟𝐢𝐚𝐧𝐞 𝐚𝐯𝐚𝐢𝐬 𝐫𝐞́𝐚𝐠𝐢𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐜̧𝐚}

le lendemain je me suis réveiller vers 10h j'ai fait ma routine comme toujours et pour finir je me suis habiller j'ai mi un jogging noir avec pull blanc et des tn blanche j'avais la flemme de m'habiller en jean juste pour faire les course

izan: en mode bonhomme aujourd'hui

moi: j'ai la flemme de m'habiller autrement

izan: tu va ou

moi: je vais faire en course

izan: j'te dépose ?

moi: non t'inquiète c'est à coter

izan: vas-y si le bus passe pas appelle moi je viens te chercher

moi: vas-y c'est bon

donc je suis descendu j'espère une chose ne pas croiser sofiane mais d'un coter si pour pouvoir lui parler de ce qu'il c'est passer hier , 20 min après jetait enfin arriver donc j'ai pris tout ce que j'avais besoin et après je suis parti dans les rayons boisson pour prendre une coca et comme par hasard j'ai vu sofiane dans le rayon donc j'en n'est profiter pour lui parler

moi: pourquoi tu la frapper limite tu me fessait le mec jaloux

sofiane: tu sort d'où toi frere un jnoun j'ai jurer

moi: du coup ?

sofiane: me casse pas la tete ton cousin c'est un gros trou du cul

moi: parle bien j'te permet pas tes la tu frappe les gens pour aucune raison

sofiane: j'ai une raison

moi: c'est quoi la raison qui ta dit de le frapper j'te fois rien

sofiane: a croire je veut un truc avec toi jamais de la vie je voudrais un truc avec  toi j'en est des filles mieux de toi tu crois je vais te prendre toi elle a craquer elle

il les devenu mauvais c'était pas son habitude j'ai l'impression qu'il me détestait mais c'est parole m'avais blesser je suis une fille hyper sensible donc j'ai préféré pas répondre et parti je me connais bien si j'aurais parler j'aurais fini en pleure et j'ai pas envie que ce bouffon me vois pleurer

donc je suis parti en caisse j'ai payer et je suis parti à l'arrêt de bus , après quel que minute une voiture noir qui me semble familière s'arrête devant moi la vitre s'ouvre et je vois sofiane et coter passager il y'avait une meuf et cette meuf c'était elle de la dernière fois qui était venu dans mon bloc (ines)

sofiane: évite de pleurer

la fille a commencer à rigoler puis il les parti je voulais pas être triste à cause de ces personne donc j'ai préféré marcher à pied et prendre l'air en même temps

il la perdu, sans cesse je lui est répéterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant