𝐈 |𝐋𝐄 𝐂𝐀𝐌𝐏𝐔𝐒 𝐄𝐓 𝐒𝐄𝐒 𝐑𝐄𝐍𝐂𝐎𝐍𝐓𝐑𝐄𝐒

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Hellooo guys !! Pas de TW pour ce chap, il est chill... On se revoutre à la fin ??

Bonne lecture mes stars <33



E V A   J U G A L E Z 

« elles parlent et se moquent derrière mon dos et devant elles font les hypocrites »

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« elles parlent et se moquent derrière mon dos et devant elles font les hypocrites »

14 h 47, Au campus.

L'université de New York est gigantesque, elle est l'une des universités les plus prestigieuses. Seuls les aisés peuvent y étudier. Et disons que je m'en fous un peu des études. Je suis là parce que mon père souhaite que je fasse des études supérieures, mais moi, je trouve que je n'ai pas besoin d'approfondir mon apprentissage. Je sais déjà tout.

J'aime me surestimer.

Mais j'ai préféré écouter mon père et venir ici. Je ne suis jamais venue à New-York alors je suis un peu perdue avec tous les panneaux mais je pense que je vais m'y faire.Je ne connais personne ici, mise à part Noa.

La secrétaire m'a donné la clé de ma chambre sans même me sourire ou me regarder de façon respectueuse. On dirait que les New Yorkais n'ont pas connu le respect, mais ce n'est qu'un détail.

Alors que je me dirige vers la porte de ma chambre de campus, un mélange d'excitation et de peur font leurs présences dans mon estomac.

Je stresse énormément à l'idée d'avoir une colocataire. Je n'ai jamais eu l'expérience d'être en internat ou de faire même des soirées pyjamas à cause du monde dans lequel je vis.

J'espère réellement avoir une colocataire plus tôt sympa et cool, quelqu'un qui ne prend pas la tête pour rien. J'espère surtout que nous nous entendrons bien.

Allait-elle me voir sale ?

{Non, elle ne te trouvera pas sale Eva !}

« Tu es répugnante, regarde-toi ».

« Tu n'es qu'une bonne à rien ».

Je secoue la tête pour faire sortir cette voix de ma tête.

J'arrive devant la porte, stressée. Je passe la serrure à la porte et à peine je franchis le cadre que ma nouvelle colocataire me saute dessus.

Oh my god !, s'écrie-t-elle. J'avais trop hâte de te rencontrer !

Elle me serre fort, très fort. Je commence à manquer d'oxygène, il faudrait peut-être qu'elle me lâche, non ?

Je n'ai pas l'habitude que quelqu'un me prenne dans ses bras. Ça fait si longtemps que je n'ai pas eu ce genre d'attention que je ressens un frisson parcourir toute ma colonne vertébrale.

ROSELLAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant