11.★ rencontre croustillantes ★

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Héra

Ce regard que je ne connaissais que trop bien, qui ne voulait pas me laisser : Eskil Lind.

Je l'ignorais pour rester faire connaissance avec la nouvelle Oriane de ses amis.

On arriva vers un coin où plutôt tranquille et même si on était en retard avec Esmeralda, on avait l'habitude d'arriver quinze minutes en avance.

Donc on avait maintenant dix minutes d'avance.

- Je pense qu'on peut tous se présenter un par un. Dis-je en m'asseyant sur un banc, d'un côté de la table qui était dans la cour.

- Je commence ! Dis avec enthousiasme Oriane. Je m'appelle Oriane Perez, j'ai des origines espagnoles et j'ai dix-neuf ans.

- Moi, c'est Laïa Gonzalez, je viens de Cuba et j'ai également dix-neuf ans.

On tourna toutes le regard vers l'unique garçon de ce groupe qui d'un air plus ou moins gêné dit :

- Je m'appelle Loan Hayot, je viens de la Martinique et j'ai dix-huit ans.

Pour finir du côté des amis à Oriane il restait une fille qui avait sûrement un dur caractère.

- Je suis Esther Tabakov, je suis née en Russie et j'ai dix-huit ans.

On en concluat que Loan et Esther avaient des chances d'être dans la même classe que moi et Esmeralda. Alors qu'Oriane et Laïa avaient clairement aucunes chances.

C'était à mon tour de le présenter ce que je fis aussi tôt :

- Je m'appelle Héra Bias, j'ai dix-huit ans et j'ai des origines grecques.

- Pour finir je m'appelle Esmeralda García, j'ai le même âge et je viens d'Écosse.

On remarqua vite que personne n'avaient les mêmes origines donc ce qui créea une diversité assez lourde dans ce qui ne pense va être un groupe d'amis.

Il nous restait un peu moins de cinq minutes avant d'aller en cours, alors je prend Oriane à part pour savoir à quelle point on s'est séparées.

- Où était tu passée ?

- Mon père à décider d'arrêter de voir ton père, car il y avait des embrouilles entre eux. On était jeune et aucuns moyens pour qu'on puisse se contacter...

Des embrouilles ?

Mon père ne m'en a jamais parler, car il a toujours dit que ce n'était absolument pas mes affaires.

- Il s'est rendue chez un autre fournisseur ?

- Bien évidemment, il ne voulait au grand jamais revoir ton père.

Mes sourcils se froncèrent, dans la plus grande incompréhension.

J'avais l'impression que chaque jour de ma vie on m'avait mentis, chaque fois que je parle à une personne on m'apprend des choses que j'ignorais.

Je pense qu'elle compreendis que je ne savais rien sur les évènements et me dis :

- On en parlera mieux ce soir. Je dois te laisser. Tout en regardant au-dessus de mon épaule le temps qu'elle parle.

Elle me laissa comme ça, seule.

Je le retourna et compris pourquoi elle décida de partir, Eskil était là dernière quelques casiers entrain de me fixé.

- Que veux tu ? Demandais-je avec un ton de colère.

- Rien, j'écoute. Alors tu la connaissais ?

Héra Où les histoires vivent. Découvrez maintenant