Chapitre 2

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Le carton que je tenais mollement dans mes main finis par tombé sur mon pied droit.

- Aye !

Je vois mon père arrivé a mes coté avec une autre boîte a la main.

- Fais attention. me dit-il suivit d'un petit rire.

je ramasse la boite et la place dans le coffre de la voiture grise de ma mère. Ses décidé, ou plutôt, ils on décidé, que j'allais partir étudié dans une des villes ou je nais jamais mis les pieds. Je vais devoir me débrouillé toute seule pour de bon cette fois.

Je crois que la seule chose que j'apprécies de se nouveau départ, ses que je ne verrais plus mon père ni mon frère.

Mais aussi, je pourrais peut-être trouvé la vie dont je rêvait...

Moi et mon père finissons de remplir la voiture de toute sorte de boite et de sac. Je nais pas besoin de meuble, mon appartement est sur le campus et les meubles son fournis, le seul truc qui me tracas ses que je dois partagé mon appartement avec quelqu'un, mais je ne ses pas qui..

j'èspère vraiment que sa ne sera pas un gars, mais de toute façon les chambres ne sont pas mixte, pas vraie ?

Je descend de la voiture et commence a surchargé mes bras de toute sorte de valise et de sac. Je lève la tête et je sent mes yeux écarquillé face a l'immense bâtiment qui se dresse devant moi, je cligne plusieurs fois des yeux avant de réalisé que je ne rêve pas.

L'université ressemble a un château tout droits sortit de Disney. 

Il y a des centaines de petit buisson qui crée un petit chemin jusqu'à la porte principale, celle-ci est bleu nuit et a des poigné qui ressemble a ceux de Lancien temps .

"You really know how to make me cry "

La musique <<ocean eyes>> de Billie Ellish résonne dans mes oreille, bien que j'adore écouté cette musique, je décide de retiré mes écouteur pour ne pas brisé la joie du moment qui commence a se crée dans mon cœur. Je prend mes parent dans mes bras. Je commence à avoir les bras endoloris a force de tenir trop long temps mes bagage alors je recommence a marché vers la porte, en prenant soin de ne pas accroché les petits arbustes.

Le trajet pour arrivé ici n'a pas été si désastreux que ce a quoi je m'attendais. Ses mon père qui conduisait, ma mère côté passager et moi en arrière entrain de finir l'un des livres que j'avais mis dans mon sac pour la route. Arrivée devant la porte j'essaie d'atteindre la poignée mais je manque d'échappé mes bagages à chaque fois. La porte fini par s'ouvrir sur un grand brun. Mes yeux croise ses iris mais je me dépêche de passer devant lui puisque qu'il me tien la porte. En entrant dans ma nouvelle université mes yeux son ébloui par sa grandeur. De grand couloir et de grand escaliers se dresse devant moi. J'agrippe fermement ma valise et mon sac avant de me diriger vers les escaliers vert forêt. Je monte avec difficulté jusqu'à la première étage. Il y a une pancarte qui montre que les appartement de 1 à 12 se trouve dans se couloir.

- Merde. Lâchage dans un soupire.

Mon appartement est le 20. Je me redresse de nouveau et continue à braver les marches. Ma monté me semble moins longue que la précédente. Je m'engouffre dans le couloir. Le plancher est fais en bois et les murs son gris, presque blanc. Après avoir marché une éternité dans se couloir j'arrive enfin devant mon appartement. Je glisse ma main dans ma poche de jeans et en sort une clé. L'université me l'avais envoyé par la poste. J'insère la clé et tourne la poignée. La porte s'ouvre sur un minuscule couloir, j'entre et referme la porte.
J'avance et inspecte les lieux. A ma gauche se dresse une petite cuisine avec un îlot, en face se trouve deux sofa qui entour une grande télé accroché au mur. Les murs de l'appartement son blanc et vide. Aucune décoration ne donne vie à ses mur givrés. Je tourne sur moi et trois portes me font face. J'ouvre la première en espérant que sa ne soit pas celle de ma colocataire. Mais vu mon taux de mal chance un grand lit défait se trouve au milieu du mur du font et des leds tamise la pièce en bleu. Je me dépêche de fermé la porte et à ouvrir la deuxième. Une grande douche en vitre, une toilette et un comptoir noir et lisse qui entoure un évier parfaitement blanc se dresse devant moi. Je ne prend pas la peine de fermer la porte et me dirige rapidement vers la dernière porte. Je l'ouvre et un grand sourire étire mes lèvres. Je laisse mon sac s'affaissé au sol et pose ma valise contre le sol. Un grand lit au douillette blanche se trouve a la même place que celui de ma coloc. Deux petite planche noir se tienne en guise de tables de chevet sur les côtés du lit. Un bureau fais face au mur dans le coin de la pièce, a sa droite se trouve une grande fenêtre. Mon sourire s'étire un peut plus.

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