Chapitre 15

1K 61 0
                                    

Descendant les escaliers, le bruit de mes talons résonne dans la villa silencieuse, quand j'arrive aux trois dernières marches qui me sépare du salon. Dario est déjà là, dans son costume trois pièces noire à regarder par la baie vitrée, je me mort la lèvre pour ne rien dire et attends. Il me voit grâce au reflet de la vitre puis se retourne, je le rejoins et j'ai à peine le temps de dire quelque chose qu'il m'attrape par la taille pour coller nos lèvres. Alors là, je ne mis attendais pas, il me prend au dépourvus mais très vite je me reprends et lui rend son baiser, me serrant un peu trop fort contre lui ma côte douloureuse se réveille m'arrachant un gémissement que Dario remarque puis me relâche sans me laisser m'éloigner.

- Désoler.

- Ce n'est pas grave.

Ses yeux me détaillèrent de haut en bas avec un sourire coquin. Ma robe lui plait. Vu que je lui ai cacher, il la découvre. Passant un doigt sur le décolleter plongeant, il remonte jusqu'à ma poitrine sans dire un mot, me donnant simplement des frissons. Alors qu'il remonte ma tête vers lu, ses lèvres reprennent possession des miennes mais plus doucement, passant mes bras autour de son cou, je me lève malgré mes talons pour être face à lui. Une personne toussa nous sortant de notre torpeur et en tournant la tête, voie Easton regarder sa montre.

- C'est bon, vous êtes dans vos personnages là ? Ça fait cinq minutes que vous vous imprégner.

- On met toutes les chances de notre côté, lui répond Dario.

- Je viens vous dire que la voiture est devant.

- On arrive, je dis.

Easton me souris avec sa belle tête défigurer par mes soins puis sortis, nous le suivons dehors puis j'entre dans la voiture la première suivie par Dario, une vitre nous sépare de l'espace conducteur donc nous sommes seul dans ce petit habitacle. La voiture démarre tandis que je vérifie l'attache de mon holster sous l'œil curieux de Dario.

- Ça t'étonne ? je souris.

- Honnêtement oui, je ne pensais pas que tu arriverais à cacher une arme.

- Une jambe est dévoilée, pas l'autre.

- Je voie ça, il sourit.

Les yeux sur mes jambes, je remets la robe correctement puis me tourna vers lui.

- Tu appréhende ? je demande.

- Non et toi ?

- Non, nous avons tout vérifier et si jamais, un me force pour me tester, je tue la personne et c'est régler.

Dario me regarde surpris puis se met à rire. Au moment où j'allais regarder par la fenêtre, une main sur ma cuisse me fait me concentrer sur mon beau « fiancé », celui-ci me détaille d'un regard noir, profond et envoutant.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- J'ai quelque chose pour toi.

Je fronce des sourcils en le voyant mettre sa main dans la poche de son costume et en sort une petite boîte, il l'ouvre devant moi et je souris en voyant une bague différente que celle de sa mère. (photo de la bague en haut)

- Elle est magnifique.

- Tu acceptes de la porter celle-là ?

- Si elle n'appartient pas à ta mère ou à ta famille oui.

Prenant la bague de son écrin, il me prit la main gauche et me passa la bague à l'annulaire. Ce geste bien qu'il soit faux, je ressens de la chaleur dans le ventre, de la joie, de l'excitation et des frissons me coure dans le dos et les bras, je contemple la bague en souriant, un bras se passe autour de ma taille, il me soulève pour que je sois sur ses genoux. Mes sourcils se hausse en sentant son membre en érection.

Une garde du corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant