My Brother ( T/p Haitani )

Un rêve ?

On partie en courant comme des gosses qui venait de faire une connerie dans un magasin et qui éviter de se faire rattraper par les commerçant en rigolant comme des gogoles

Hanma : vient par la

Je le suivis on tourna dans une rue et je ne le vis plus jusqu'à ce qu'on m'appelle

Hanma : en chuchotant T/p par la

Je rentra par une petite porte

T/p : on est où ?

Hanma : dans un bâtiment appartenant au Toman

T/p : le Toman c'est toujours Mikey qui le gère

Hanma : oui et non personne ne sait ce qu'est devenue Mikey donc Kisaki a reprit le Toman

T/p : tu c'es ce que j'en pense de Kisaki

Hanma : tu le déteste on le sait, c'est réciproque de son côté

T/p : bon on reste la longtemps

Hanma : suit moi

On prit un ascenseur pour arriver à un salon qui donnait sur la ville en mouvement

T/p : on est haut

Hanma : on est au 15e étage

T/p : ça fait haut

Hanma : je me met a l'aise fait comme chez toi

Il déboutonna sa chemise pour rester en pantalon mes yeux dévorai son corps bien sculpté et son v apparent

Hanma : tu profite

T/p : ouais si tu pouvais rester comme ça c'est parfait

Un léger sourire fit son apparition sur son visage

Hanma : tu veux toucher ?

T/p : tu le demande si gentiment

Je me leva et il s'approcha de moi je posa mes mains sur ses abdos

Hanma : je trouva sa injuste que toi tu es encore ton haut

T/p : je peux l'enlever

Je deboutona doucement ma chemise en satin avant de la faire glisser sur mes épaules puis de la laisser tomber sur la chaise derrière moi

Hanma : tu as pris de la poitrine par rapport à avant

T/p : la chirurgie fait des miracles

Il passa ses mains sur ma taille pour me coller à lui et m'embrasser doucement je pouvais sentir ses mains caresser mon corps pendant que ses lèvres intensifier le baiser

Je déboutonnai son pantalon lui faisant de même avec le mien

Il me porta pour venir me poser sur le canapé en velour Bordeaux

Je pouvais sentir ses mains me caresser l'intérieur des cuisses et remonter doucement vers mon intimité me faisant soupirer contre ses lèvres

Je nous fit rouler pour me retrouver à califourchon sur lui pendant qu'il se mettait alaise sur le canapé

Ses mains décrochèrent mon soutien-gorge qu'il fit glisser doucement jusqu'à me le retirer complètement

Il me regarda avec plein de désir dans ses yeux, il vint embrasser mon cou avant de descendre entre mes seins et des les embrasser

T/p : tu as toujours cette douceur dans tes mouvements que j'aime tant dis-je en soupirant alors que mon bassin faisait de léger mouvement que je ne pouvais contrôlé