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« A TROP T'AIMER »
LE LENDEMAIN
MAISON DES MOREIRA.
07:26Je me réveille en sursaut, je venais de recevoir un saut d'eau sur mon corps. Mon corps se crispa du au froid de la pièce. Anthony s'avança vers moi, habillé d'un costard très classe. Ses lèvres s'étirant en me regardant.
Anthony — Bien dormi ?
Aucun son n'arrivait à franchir mes lèvres. Il s'avança vers moi, il sortit la clé de sa poche. Il insère la clé dans la serrure et ouvre. Il me fait sortir à travers celle là. Il afficha une mine dégouté en voyant mon visage et mon corps. Mon visage était complément abîmée, il y avait du vomis sécher dessus.
Je pourrais même pas décrire l'état de mon corps, ma peau était devenue un champ de bataille. Des brûlures par ci, des coups de cravache par la, des hématomes partout.
Anthony — Quand tu rentres dans la douche, frotte toi bien parce la ce n'est pas possible l'odeur que tu empestes.
Il avait clairement raison. Je sentais fortement la pisse. Pendant que je dormais il avait fait pipi dans ma cage. Pathétique.
Je le regardais avec colère. Il me leva, il me détache de mes chaînes, ensuite me jeta un peignoir à la gueule que je pris pour me couvrir et nous sortons du garage.
Nous nous stoppons devant la porte de la salle de bain. Il se positionna devant moi, me retire le collier électronique.
Anthony — Je te laisse 1h30 pour te laver, t'habiller, te coiffer et te maquiller pour camoufler toutes ses vilaines choses.
J'allais rentrer dans la salle de bain lorsqu'il me maintient le bras. Je le regarde puis sa main qui était sur mon bras pendant au moins trente secondes.
Anthony — Je te jure Naerïna que si tu me baises derrière mon dos. Je te retrouverai et je te tuerais.
Il a dit tout ça d'un ton sec et froid. Son regard me glaça littéralement le sang, j'avala difficilement ma salive en hochant la tête et il me lâcha enfin en me dévisageant et monta à l'étage sûrement pour rejoindre son bureau.
J'ouvris la porte de la salle de bain et y rentre. Je retire mon peignoir et rentre dans la cabine de douche. Je baissa mon regard sur mon ventre qui était devenue aplati, il n'y avait vraiment plus mon bébé. J'alluma l'eau et reste au moins vingt minutes sous l'eau, je pris mon gants et renversa le savon dessus et me frotta extrêmement. Ma peau me brûla atrocement du au coup de ceinture et cravache.
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« À trop t'aimer ».
SonstigesJe t'ai tellement aimé que j'en ai perdu mes valeurs. À force de t'aimer, j'vois mon âme partir et là mon cœur se meurt.