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« A TROP T'AIMER ».
MAISON DES SOARES
19;36.Anthony — Oui mon amour, dit qui t'a fait cette chose horrible.
A cette instant, j'avais peur, extrêmement peur de ce qu'il pouvait bien m'arriver si je rentrais avec lui. J'avais peur de lui, de mon mari.
Moi et ma mère nous nous retournons alors vers cette voix, qui était sans doute Anthony qui me fusillait du regard. Sa mâchoire était extrêmement contractée comme si il voulait tuer quelqu'un.
Il s'approche de moi, il ne restait que quelques centimètres qui séparaient nos deux corps. Je sentais son souffle sur ma peau. Il ancra alors son regard dans le mien, m'attrapa par le menton en me relevant la tête tout en me disant :
Anthony — Alors ma chérie, qui a pu te faire ça ? Dit à belle maman qui t'a fait cette horrible chose, que je lui fasses payer !
Il me retourna vers ma mère, c'est à dire que maintenant mon dos était collé au torse d'Anthony. Donc je ne pus pas voir son expression du visage qui l'affichait.
— Je me suis seulement fait agresser maman, ne t'inquiète pas.
J'avais dit ça en bégayant , j'avais peur de Anthony puisqu'il me pinçait le dos, en attendant que je parle.
Ma mère me regarda toujours sans rien dire, mais je pus apercevoir dans son regard qu'elle ne me croyait absolument pas et qu'elle allait en rajouter mais je lui suppliais de ne plus rien dire en la regardant avec les yeux larmoyants.
Elle hocha la tête en souriant et regarda Anthony.
Maman — Anthony que faites —vous la ? Il me semble de ne pas vous avoir invitée ici.
Anthony la dévisagea de haute en bas et afficha un sourire en lui disant :
Anthony — Je me—
?..— C'est moi qui les invité. Pourquoi ça te dérange autant mi amor ?
Mon père venait de faire son entrée, tout en remettant bien sa veste de costume. Mon père du aux de ses 58ans était très beau mais surtout charismatique, d'origine espagnol, il a plutôt la peau mate et le crâne rasée. Mais ça le rend tout de même virile.
Ma mère leva ses yeux, elle l'analysa de sa tête au pied, et afficha une mine attristée en disant :
Maman — Non, ça ne me dérange pas. Je n'ai pas mon mot à dire.
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« À trop t'aimer ».
AcakJe t'ai tellement aimé que j'en ai perdu mes valeurs. À force de t'aimer, j'vois mon âme partir et là mon cœur se meurt.