Aimantés

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Conseil de l'auteur , à lire accompagné d'une des somptueuses musiques de Lana Del Rey, à écouter sans modération.

J'aime beaucoup écrire et j'utilise les prénoms des deux youtubeurs bien connus pour leur délire bisous bisous pour que des gens puissent apprécié mon écriture puisque les gens aiment lire des fanfics dessus , je n'incite aucunement à prendre tout ça au premier degrés. Peace and love les guys.

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17h, l'heure à laquelle tout les lycéens partent de l'établissement, retrouvant ainsi leur liberté perdue le matin même. « Tous les lycéens » si l'ont exclus les petits délinquants qui eux se devaient de rester pour la plupart en heure de colle, jusqu'à 18h. Rester une heure de plus à regarder une aiguille tourner n'était pas le passe-temps favori des élèves, malheureusement pour ceux qui se faisaient prendre la main dans le sac durant une action jugée mauvaise pour les enseignants, ils y étaient confrontés. 


Ce jour là, un vendredi plutôt banal, un jeune homme du prénom de Maxime se rendait à son nouveau lycée, il était en première mais avait décidé de changer d'établissement en cours d'année pour des raisons particulières. Il était bon, bon en tous, dans toutes les matières, dans son comportement et dans toutes les choses qu'ils essayait, changer d'école du jour au lendemain n'était pas un problème majoritaire pour lui, son unique défaut était en réalité sa timidité plus qu'handicapante au quotidien. Communiquer avec des jeunes de son âge ? Il n'y voyait pas d'intérêt et ne souhaitait pas se ridiculiser durant son premier jour en bégayant à chaque mots qui s'extirperait de sa bouche. Pourtant en entrant dans l'enceinte du bâtiment il remarqua instantanément son incapacité à retrouver son chemin, il resta en retrait dans un couloir qu'il pensait être le bon chemin jusqu'à sa salle de classe sans osé demander à un autre étudiant ou à même un surveillant. La sonnerie se déclencha et il se rendit compte de deux choses, il allait arriver en retard à son premier cours, une horreur pour lui, ses poings de serrèrent automatiquement démontrant ses angoisses. La deuxième réalisation était qu'il se trouvait en face d'un garçon, il dut relevé sa tête pour apercevoir son visage, ses traits étaient fins, il imposait une pression palpable dans l'air tant que Maxime cru s'étouffait. Le plus grand posa son regard sur lui et détailla Maxime comme si il était une vitrine remplie de bijoux, il enleva de sa main droite la cigarette qui tenait entre ses deux lèvres sanglantes, une épaisse fumée embaumée le bas de son visage puis remonta vers le haut. La vue qu'avait Maxime sur cet élève n'était guère sans ressentis, savoir que l'autre homme le regardais de ses yeux bruns dégoulinants d'attrait pour sa personne le fit rougir jusqu'au oreilles.

Un surveillant interrompit leur échange visuel silencieux, ils leurs demanda leur classes respectives pour les mener à bon port avant qu'ils ne soient trop en retard. Un frisson parcouru Maxime lorsqu'il entendu l'autre garçon — de sa voix rauque et suave — répondre au surveillant le numéro de sa classe qui n'était autre que celui de Maxime. Il ne savait pas si il devais trouvé ça stressant ou plaisant, il n'eut pas le temps d'y réfléchir plus que ça puisque qu'ils étaient déjà arrivés à la porte du cours de mathématiques. Le surveillant frappa à la porte et elle s'ouvrît quelques instants plus tard, laissant Maxime apercevoir le professeur qui semblait sceptique. Après un briefing rapide de la part du surveillant il partit au plus vite du couloir.

-En retard pour son premier jour, j'aurais tout vu! Et toi Sidjil, comme d'habitude avec tes cigarettes, que ça serve d'exemple à vous tous.. dit il en regardant la classe à moitié endormie. 1 heure de colle pour eux d'eux ce soir!

Sidjil... original pensa Maxime, celui ci était déjà parti en direction d'une chaise libre à côté d'un brun à lunettes de soleil.. à l'intérieur ? Il alla donc à la dernière place libre, celle à côté d'un grand métisse, qui dormait à moitié sur sa table. Il se releva à la vue de Maxime et lui adressa un large sourire béat, il avait l'air gentil, c'était la moindre des choses. Le cours se déroula bien et il discuta même avec le grand frisé qui avait l'air ravi d'avoir enfin un voisin de table. Durant le reste de la journée, il resta alors avec lui, il s'appelait Matthis et ce dernier lui avoua que personne ne restait avec lui parce qu'il était trop énergique ou d'autre chose du style, il est vrai que Matthis lui parlait déjà d'envisager des soirées pyjama ensemble entre « meilleurs amis » l'idée ne lui déplaisait pas alors il l'écoutait patiemment. Maxime attendait cependant toujours cette fameuse heure qu'il passerait avec Sidjil... Le beau brun lui avait répondu à ses regards pleins de doutes par les siens, brûlant de patience et de résistance. 

Le moment décisif se déclencha lors de la sonnerie de 17h marquant la fin des cours, il salua Matthis de la main et se dirigea vers la salle de permanence. Sur le chemin ses questions se multiplièrent, il ne le connaissait pas et inversement, ces regards étaient peut-être visés pour Matthis ?? Sur ce point Maxime ne doutait pas trop hein.. Bref il arriva devant la porte accompagné d'un autre surveillant ainsi que celui qui le hante depuis cette matinée, ils entrèrent tous et le surveillant commença un breve récapitulatif des règles des heures des colles. Une fois qu'il eut terminé il parta en fermant derrière lui les laissant tout les deux seuls dans cette salle pendant soixante minutes seulement..

En seulement quelques mouvements rapides, Sidjil transpirant d'envie avait plaqué le petit corps de Maxime (deso max.. ) contre le mur du fond de la pièce. Ses intentions se lisaient sur son visage débordant de désir insistant, Maxime quant à lui, il se laissa faire, il laissa Sidjil plaçait ses mains fraîches sur ses hanches courbées pendant qu'il le regardait de ses grands yeux éclairés par la foudre qui les frappait, les deux jeunes hommes transpirés d'amour, un amour charnel et délicat. Aucun mot n'avait sa place dans cette conversation particulièrement gestuelle, ils se comprenaient, ils se complétaient et ils se découvraient. Le plus grand passa sa main sous l'ample tee-shirt qui couvrait la douce et brûlante carnation de Maxime, il se permit de s'y aventurer, de s'y perdre. Les frissons que procurait Sidjil chez Maxime durant ses caresses révélatrices exprimés toute cette ardente passion qui le submergeait lui aussi. 

Personne ne savait, que dans cette stupide salle de permanence la où avait passé un grand nombre d'heures Sidjil, deux individus totalement opposés partageaient les fruits d'un amour qui avait vu le jour il n'y a que quelques heures. Un amour à la fois intense mais subtile, fougueux toutefois ordonné, la définition équivalente de deux âmes-sœurs, les deux concernés reconnaissant leurs sentiments communs n'ont aucunement besoin d'utilisé la parole pour se comprendre. Malheureusement pour eux ils n'ont pas le temps qu'ils souhaitent pour jouir de cet attachement nouveau mais rapidement dépendant.

Sidjil et Maxime se délectent de toutes ses nouvelles sensations qui les traversent, leurs mouvements sont lents mais leurs pensées fusent à toute vitesse dans leur tête avide de touché. Leurs lèvres s'approchent, se goûtent et enfin s'apprivoisent délicatement, leur ombre et leur esprit ne font plus qu'un. Ils se sentent pour la première fois entier et complet durant ces moments passés ensemble à s'avouer silencieusement leurs envies débordantes.

À chaque fois qu'ils eurent besoin de converser à leur manière, ils se rejoignirent dans cette même salle, à la même heure, pour se retrouver soixantes minutes seulement .

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J'ai enfin fini cet os!

J'espère que ça vous plaît et que je n'ai pas trop fait de fautes grossières..

Dites-moi si vous voulaient d'autres petites histoires comme celle-ci, je n'ai rien écrit de sexuel vu que je n'y voyais pas forcément d'intérêt.. je pense que vos esprits ont plus d'imagination que des phrases qui ressemblent à celles d'autres fanfics.

• Passez une bonne journée/soirée!

Soixante minutes seulement - Maxime x SidjilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant