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Layla-

Après avoir « réconforté » Kalil nous sommes rentrer chez nous, il devait être dans les coups de 20h et c'était l'heure de manger.

Dite vous que j'avais même plus le droit de manger avec eux, j'étais obliger de manger toute seule dans la cuisine, et entendre le gros rire de l'autre khenza me m'étais hors de moi.

Juste le fait qu'elle parlait avec Rayane et Tarek comme si c'était ces frères m'énervait au plus au point. La porte s'ouvre.

Rayane : Sava Layla ?

Moi : *sourire* Oui mon frère, tu peux allez manger avec les autres hun mehlich

Rayane : Non j'préfère mangez ici, la bas il caille sa mère. Viens Islem elle a dis oui

Islem s'est ramené avec sa petite assiette et ils sont venus s'assoir près de moi, pour vous c'est rien mais comment j'étais contente moi de savoir que y'avait des gens qui restais avec moi.

Moi : Vous pouvez pas savoir à quel point je vous aimes

Islem : *rigole* Mais on se connais pas encore beaucoup nous

Moi : C'est pas grave, je t'aime tellement mon bébé

Il s'est mis a rigoler, puis après avoir fini j'ai laver leurs assiettes et ils sont allez dans leurs chambres et moi j'ai rejoins la mienne. Kenza y étais déjà a parler avec je ne sais qui en criant.

Moi : Tu peux arrêtez de crier heichek ?

Kenza : Oh mais qu'est ce qu'elle a là sans famille la ? Laisse moi

Moi : Kenza je vais dormir, j'tes demandé d'arrêter de crier

Kenza : *souffle* T'es chiante

Je me suis dirigé vers ma fenêtre pour la fermer mais quand j'ai vue Kalil avec un gros joint en main je l'ai vite ouverte.

Moi : Kalil ! Kalil !

Il étais tellement dans les vapes que j'ai du lui jeter une boule de papier.

Moi : Tu fais quoi là ?! Jette moi sa ! T'es malade ou quoi ?!

Son regard s'est lever vers moi, quand j'ai vue ces yeux rouges mon cœur il m'a fait mais très mal. C'est une des pires sensations de voir quelqu'un avoir mal.

J'en ai même eu des larmes les filles c'était vraiment trop triste.

Moi : J'arrive Kalil, bouges pas.

Faut voir comment je suis descendu à toute vitesse, si il y'a bien quelque chose que je déteste c'est de voir les gens fumer, et surtout celles de mon entourage.

Il étais entrain de tuer ces poumons à petit feux et je ne voulais vraiment pas de ça. Je suis arrivé dans sa chambre en bombe et j'ai pris son joint avant de le jeter par la fenêtre.

Kalil : *il me pousse* Ow qu'est-ce tu fou ?! Tu veux j'te nique ta mère ou quoi ?!

Moi : T'es entrain de tuer tes poumons Kalil c'est pas bien

Kalil : Et alors ?! C'est les tiens ou ceux de ton père ?! Vas-y nashave ta mère d'ici wAllah j'tes rien demandé Layla

Moi : Kalil par contre parle pas de mon père

Kalil : J'men bas les couilles j'parle de qui j'veux

Moi : *je soupire* T'es pas dans ton état normale

Kalil : J'men bas les couilles ta pas compris ?! Kawed sinon j'vais le faire pour toi

Moi : Mais..

Il ne m'a pas laisser le temps de m'exprimer car la seconde d'après il m'avais pousser et j'étais tomber sur son lit, il avais un regard les filles j'avais tellement peur.

« Si je l'avais su » -LaylaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant