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Layla-

Il y'a pas de jour précis ou mon histoire a commencé parce que ça s'est fait au fur et à mesure de ma vie, mais c'est à cette période précise de ma vie que ça a commencé donc je vais seulement, raconter une journée banale de ma vie à ce moment là puis on va continuer.

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J'ai éteins la télé avant de mettre mes chaussures et descendre en bas du bâtiment là où mes copines m'attendais.
Ce jour là il faisait chaud et j'avais lâché mes beaux cheveux brun.

Nafissa : Hello comment ça va ? dit-elle en souriant

Moi : Salem bien et vous ?

Amira : Tranquille.

Moi : Qu'est-ce que ta ? Ta l'air énervé ?

Amira : Vas-y c'est Farès il m'a frappé, j'ai trop mal au bras.

Moi : Il ta frapper ? Mais pourquoi ? dis-je confuse

Amira : Je lui est dis que j'avais un meilleur shab pour rire mais vas-y je suis gênante.

Moi : Bah non c'est lui qui est gênant, pourquoi il irait te frappé alors ? Oh je vais allez le voir j'aime vraiment pas ça.

Nafissa : Non c'est bon, c'est pas lui qui va gâcher notre journée quand même ? On sort jamais vu qu'on a cours c'est le seul moment où on peut se retrouver parce que madame est déscolarisée

Moi : Mh on va dans notre banc ? soufflais-je

Amira : Oui chef !

Ce banc il a une très grande signification pour nous trois, c'est le banc de notre rencontre et de notre enfance depuis toute petite.
C'est là que j'ai rencontré mes deux copines que j'aime d'ailleurs on lui avais donné un nom « banc des bella » quand on avais douze ans.

Nafissa : Ah il me soule Younès a m'envoyer des vidéos de lui en soirée, je vous jure j'ai tellement la haine.

Moi : Mais Nafi bloque le, il te ramène rien de bon je te jures c'est une merde.

Amira : Franchement, je comprend pas pourquoi tu veux pas le supprimer sur les réseaux.

Nafissa : Je l'aime trop, c'est pas de ma faute.

Moi : Mais tu va pas souffrir pour sa gueule de con ? Si ?

? : Non.

On a sursauté étant donné que la personne est venu de derrière nous, c'était la voix à Kalil je l'a reconnaît entre mille, il a une voix cassée mais grave ça fait beau.

Moi : Eh tu nous a fait peur salle merde.

Il a passer son bras derrière ma nuque et il a souri, je l'ai souri en retour.

Kalil : Vous parlez de quoi ?

Moi : C'est pas ton problème, bouges.

Kalil : Tu veux quoi voyoute ?

Il m'appelais comme ça depuis que je m'étais suis battu et que j'avais étais exclu de mon collège, quand j'étais en classe de 5eme donc ça monte à il y'a hyper longtemps.

« Si je l'avais su » -LaylaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant