Chapitre 25

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Une fois le feu vert donné, nous nous éloignons de quelques pas pour mieux sauter sur le grillage et l'enfourcher d'un seul coup. Nous faisons le moins de bruit possible pendant le saut, mais à l'atterrissage aussi. Après qu'on se soit repéré dans le jardin, on se planqua derrière un arbre avant que les deux molosses nous voient puis je regardai ma montre "20h44" du bruit attire mon attention et je voie les deux gars discuter avec deux nouveaux, ils doivent se faire un rapport donc après un coup d'œil à Marcus, nous courons jusqu'à la maison et alors qu'il tourne la poignée pour entrer dans le bureau afin qu'on entre, là, c'est la catastrophe puisqu'elle ne s'ouvre pas.

- Quoi, non, non, s'affole Marcus.

Il essaie de forcer, mais rien donc je le décale pour avoir de la place, je m'accroupis en sortant une épingle de mes cheveux puis triture la serrure quelques secondes et quand nous entendons des voix venir vers nous, la porte s'ouvrit donc on se dépêcha d'entrée. Limite, on se fout à plat ventre pour ne pas se faire voir quand les deux mecs passèrent derrière la porte. Laissant un souffle sorti de ma bouche quand Marcus tapota ma cuisse. Heureusement que les volets son mis un minimum pour ne pas trop distinguer ce qu'il se passe à l'intérieur mais assez pour que nous soyons dans une semi obscurité.

- Bien jouer.

- C'était chaud, je dis.

Une fois remis de nos émotions, on se leva pour regarder autour de nous. Bon, nous avons plus qu'à attendre que le sénateur repasse par son bureau. Sinon, nous irons le pêcher, malheureusement nous n'avons pas le temps d'attendre qu'il débarque. Doucement, je vais vers la porte et l'entrouvre juste pour que cela se remarque. Je ne suis pas folle mais si nous fermons une porte et qu'en passant nous constatons qu'elle est ouverte et bien vouloir aller dedans est la première chose que notre cerveau pense à faire pour vérifier que tout est en ordre. Une fois la porte ouverte, je me cale derrière et Marcus ne se posta pas loin pour agir rapidement. Grâce à l'entrebâillement, nous pouvons entendre ce qu'il ce passe, un homme qui doit être le sénateur discute avec une femme et une autre femme mais c'est plutôt une ado vu le ton de la voix. Des pas s'approchent et la jeune dit.

- Tiens papa, tu as oublié de fermer la porte de ton bureau ?

Qu'est-ce que je disais, une chose anormale est très vite repérer.

- Ah bon ? Attends, je vais voir. Va avec ta mère je reviens ma puce.

Des pas plus assurer se fait et la porte s'ouvris un peu plus. Je pensais qu'il aller plus avancer mais la voix de Marcus du le couper dans son action.

- Retirer votre main de l'interrupteur, avancer et fermer derrière vous.

- Vous êtes ?

- Nous venons juste vous embêtez 5 petites minutes, après nous partirons, repris Marcus.

Le sénateur, ferma la porte et sursauta en voyant ma silhouette. Avançant à mon tour, je le fais reculer jusqu'au canapé, Marcus me rejoins.

- Asseyez-vous sénateur, je dis poliment.

Il ne perdit pas de temps et posa son postérieur sur son canapé, j'entends sa respiration agiter et me doute qu'il doit avoir peur.

- Que voulez-vous ?

- Juste une petite signature, je réponds.

- Pour qui vous travailler ?

- Signore Lazari, dit Marcus.

Le sénateur se lève mais Marcus appuya sur ses épaules pour qu'il reprenne place sur le sofa, je sortie le contrat puis Marcus déposa un stylo dans la main du sénateur.

Une garde du corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant