À toi l'enfant perdue,
À toi la môme effrayer,
Je suis désolée de t'avoir laissée être humiliée.
Lorsque tu étais harcelée je ne t'es pas aidée,
Je n'avais pas peur... J'étais terroriser,
Dans le mal où tu étais,
Tu a pourtant en toi tout gardée.À toi l'enfant délaisser,
À toi qui t'es vite sentie submergée,
Je n'est pas su comment te faire avancer.
J'avais les pieds attachés,
Les mains liées,
Je regrette de ne pas avoir portée,
Ce fardeau lourdement caché.À toi l'enfant qui devrait être éhontée,
À toi l'enfant qui c'est cachée,
À cette part d'homosexualité,
À ton corps mutilé,
Désolée que de l'intérieur tu te sois tuée,
Même si tu a échouée à t'aimer,
Merci d'avoir essayer.À toi l'enfant exhibée,
J'aurais dû t'empêcher de te montrer,
Tu n'aurais pas dû être souiller,
Car la télé n'est pas la réalité.
Et pour des boulets,
Tu a finie brisée,
Et moi j'aurais dû t'empêcher de pleurer.À toi l'enfant qui aimais draguer,
À toi l'enfant qui voulais chanter,
J'aurai dû évitée que tu sois brûlée,
Par cette amour non-partager.
Ne t'en veux pas d'avoir voulu tout stopper,
Lorsqu'il te dégoûtais,
Et que dans ta tête avec un autre tu étais.À toi l'enfant qui a trouvée,
À toi l'enfant qui a enfin tout arrêtée,
À lui qui t'a sauvé,
À lui qui t'a remonté et t'a appris à nager.
Je voulais vous remercier,
Vous remerciez de nous avoir sauvés,
Vous remerciez de m'avoir sauvée.-Mon écrit pour moi-