DESTINS CROISÉS: Le Parcours Périlleux

chapitre 1❣️

ATTENTION: cette histoire est une œuvre de pure fiction sortie tout droit de ma tête. Toute ressemblance avec des œuvres existantes ou ayant existées, des personnages existants ou ayant existés n'est qu'une pure coïncidence.

Avant de commencer je tenais à vous souhaiter une bonne aventure à tout ceux qui vont y passer. J'espère que cette aventure vous plaira et qu'elle sera à votre goût 🥰

Douce lecture...

******Notes externes******

Au farfond de Mbeubeusse, dans un recoin presque invisible, se trouve cette pièce métallique d'environ deux mètres carrés. Une pièce tellement bien cachée qu'elle ne peut-être distinguée à première vue.

Pas besoin de vous dire à quoi ressemble cette pièce métallique, si ce n'est chaleur, étroitesse, saleté et invivable.

Dans cette même pièce elle se trouvait, après avoir eu énormément de difficultés à les semer elle avait trouvé refuge dans cette pièce métallique.

Assise à même le sol, ruisselant de sueur, trempée de fatigue, et respirant bruyamment, la pauvre dame était à bout de souffle. Elle savait que son heure n'était pas loin mais c'était inimaginable pour elle de se retrouver entre les mains de ces cochons.

Fatiguée elle l'était, son visage était méconnaissable, son corps entier tremblait sous l'effet des contractions. Seule avec son accouchement, elle souffrait actuellement le martyr mais c'est peut-être aussi sa punition pour ce qu'elle a fait.

Aucune assistance, elle devait accoucher et elle le savait, comment va-t-elle y arriver ? Elle ne saurait quoi dire.
Elle est passée par toutes les émotions: douleur, souffrance, pleure, cris, tout y est passé.

Elle avait perdu les eaux il y'a bien longtemps et là elle savait que son accouchement était imminent. Elle priait juste que ces salopards ne la trouvent pas car là ça serait la cata.

Comme aidée d'une sage femme, elle poussait, encore encore et encore. Elle poussait de toutes ses forces en invoquant le nom du tout puissant pour qu'il lui vienne en aide.

Au bout d'une demi heure, la pauvre était à bout de force, elle n'en pouvait plus. Malgré ses nombreux efforts le bébé n'est pas sorti. Elle était persuadée que si c'était à l'hôpital on lui aurait déjà retiré l'enfant par césarienne mais là comment savoir si ce dernier n'est pas mort dans le ventre.

Ayant arrêtée de faire des efforts pendant plus de quinze minutes à cause de la fatigue et au bord du découragement, la belle peul au teint clair telle une maure, au visage beau comme une indienne et au sourire envoûteur était sur le point de perdre connaissance.

Elle était essoufflée, la respiration était à peine audible, c'est en ce moment qu'elle entend le cri aigu de son premier bébé, un cri qui lui a décroché un sourire faible.

Malgré son état pitoyable elle s'est redressée faiblement pour voir son bout'chou. Elle le prend dans ses bras et le couvre de bisous.
Le cordon ombilical qui les reliait lui a prouvé que c'était bel et bien son enfant, son premier enfant, celui qu'elle a porté pendant neuf mois dans son ventre, celui qui lui a valu certe beaucoup de malheur mais qui est actuellement la source de son angélique sourire.

Malgré ce bonheur qu'elle ressentait, elle versait également des larmes de tristesse, des larmes de désespoir et de mélancolie, de regret face à ce qu'elle s'apprête à faire et tout le poids qui incombe de son acte prochain.

Elle sort son sein toujours avec faiblesse et le donne à son beau garçon qui était son portrait craché malgré qu'il soit un garçon. Par contre ce qu'elle regrettait c'est que son fils avait le nez de son père. Ce détail l'agacait au plus haut point mais à quoi bon vu qu'il n'est pas destiné à grandir.