Ma casse couilles de soeur

Les excuses n°2

Keisuke Nous regarda tour a tour, moi Hanemiya, moi Hanemiya. Au bout d'un moment il se dirigea vers son ami et lui tapota l'épaule en lui murmurent quelques mots puis s'en alla rejoindre les autres. Le même phénomène que d'habitude quand j'étais lui se produisit. On aurait dit que nous étions plus que tout les deux dans la pièce. D'un commun accord nous quittâmes le salon nous retrouvâmes dehors. Aucun de nous ne parlais, je sentais que mon coup de colère de l'après midi nous m'était mal alaise.

-Je m'excuse, commençai je. Je n'aurais pas du te dire ca.

-Il y avait forcément une raison, non, soufflat-il doucement. Je voudrais bien savoir ce qui ta mis dans cette état la.

-Bat j'ai un peut honte a vrais dire. Je pris une grande inspiration et me lançais. Ya quelque jour je t'ai entendus parlé avec une fille et vous discutiez d'un rendé vous pour vous voir. Donc j'ai cru que... que t'allais en date avec elle. C'était la fille avec qui t'était quand, on ses croisé cette après midi. 

-Et pourquoi t'en a pas parlé.

-Je te l'ai dit, j'étais pas sur mais j'étais...

-T'était,sourit-il ?

-Jalouse, soufflais je inaudiblement.

-Quoi, j'ai pas entendut, ricanat-il. 

-Jalouse, répétais je cette fois plus fort. J'étais soulagé que tout soit désormais expliqué, et pourtant un pois restais dans ma poitrine.

-Si c'est tout, alors ya pas de problème non. Il se leva et se plaça face a moi.

-Non c'est pas tout, ya un truc que je voulais aussi dire.

-Qu'est ce que c'est,chuchotat-il en ceinturent mon bassin avec ses bras.

-J'ai remarquer que c'était tout le temps moi qui posais des problèmes et toit qui subissait. Il se raprochat de moi et je le repoussais. Je suis entrin de te parler sérieusement !

-c'est parce que tu te prend trop la tête, dit-il en me regardent dans les yeux tandis que je sentais son souffle sur mon nez.

-Je sais que se n'ai pas ça.

-Mais on s'en fou, profit pour l'instant, murmurat-il. Et cette fois  il ne me laissa pas le temps d'avoir mon mots a dire puis et assaillis mes lèvres. Nous commençâmes a nous mouvoires doucement puis de plus en plus vite. Notre embrassade commençait a devenir complètement désordonné. Hanemiya avait passé une main sous mon T-shirt et j'avais glissé mes bras dans son coup. Soudain il enfournât sa langue dans ma bouche et s'amusa a entrelasé chaque petit minimètre de ma langue. Nous nous lachames et nous regardâmes. Un sourir con trin m'échappa et il déposa brièvement ses lippes sur les miennes.

-Alors, demanda Emma ? Vous vous êtes parlez ?

-Oui, tout ces arrangé.

-Tant mieux, souppirat-elle. 

-Pourquoi, vous vous êtes disputé, dit Keisuke en surgissent derrière nous. Nous surcotâmes.

-Tu ne sais même pas de qui ont parle, ricanais je. 

-Mais on s'en fout. 

-T'est pas avec ta cheri, dis je sarcastiquement. 

-Faut savoir tu veux que je sois avec toi ou avec elle. Je grimaçais et lui répondit :

-T'était pas obligé de le crié. Il ricana repartie dans l'autre sens.

-Il est bizarre ton frère, chuchota Emma. 

-Je suppose qu'il est heureux. Elle hauchat la tête. Enfin bref... On me tapota l'épaule et je me retournais a nouveau pour voir Henamiya.

-Tu fait quelque chose après le cour demain, demandat-il. Je réfléchi et répondis: 

-Non, pourquoi ?

-Tu veux venir avec moi a Westfield ?

-Euu ouais, ok. On y vat directement après les cours. Il hochat la tête.

-A demain.

-Tu reste pas ici, demandais je ?

-Non je ne devrais pas être la, je ne vais pas dérangé.

-Tu dérange personne, dit Keisuke en nous fraisent surcoter de nouveau.

-Tu peut arrête de surgir de nul part. Il haussa les épaules.

-En plus tu pue l'alcool, ca se voit que t'était bourée reste ici, personne ne t'en voudra. Finalement Hanemiya hocha la tête et se rassit sur le canapé a coté de Chifuyu. D'ailleurs tu fais un truc demain ?

-Haa oui, pourquoi ?

-J'avais mon après midi libre vue que Lisa part a sa répétition de danse.

-Je suis désolé, mais je vais a Westfield avec...

-Avec, reprit-il ?

-C'est pas important.

-Ok, et il s'éloignât. Il y eu un instant et nous pouffâmes de rire. Finalement tout c'était arrangé.