Chapitre 3

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Je suis réveillé par un mal de crâne atroce, les souvenirs de la veille sont encore brouillés.

Quand j'ouvre les yeux je me rend compte que je suis dans ma chambre mais je ne sais pas comment je suis rentré c'est ce qui est me perturbe.

Comment je suis rentré ?

Pourquoi le dernier souvenir que je de la soirée, c'est d'avoir aperçu Milla près de ça voiture ?

"Toc Toc Toc"

Ça ne peux être qu'une personne, Milla.

Esmee :
ENTRER !

La porte de ma chambre s'ouvre brusquement. Elyo, le mafieux que j'ai rencontré hier, entre avec assurance.
Je me redresse d'un seul coup.

Je n'aurai peut-être pas du me levé aussi vite j'ai affreusement mal à la tête..

Je me mets à fixer à la personne qui vient de rentrer dans ma chambre.

Elyo :
Tu aurais pu attendre d'avoir un peux plus de tissu avant de me laisser entrée. Dit-il avec un sourire taquin. À moins que tu voulais que je te vois comme...ça. Dit-il en pointant du doigt ma tenue.

Je baisse la tête et regarde ma tenue.
Je ne vois pas ce qu'il veux dire j'ai un short et un top.

Esmee :
Un bonjour aurait été suffisant, puis concernant ma tenue je ne vois ce qui te fait dire que ça manque de tissu puis soyons claire "TU" es dans "MA" chambre,  alors maintenant tu vas me faire le plaisir de sortir d'ici avant que tu finisses avec le même mal de crâne que moi! Dis-je en m'approchant dangereusement de lui.

Elyo :
C'est qu'elle sort les griffes en plus. Dit-il avec un rictus amusée. Mais permet moi de te dire que tu ressembles plus à un chat enragé qu'à une tigresse, ce qui ne te vas vraiment pas gamine .

Esmee :
Et toi tu me fait plus penser à une sangsue qu'à un mafieux mais bon sache que je n'ai pas de temps à perdre avec un crétin.

Elyo :
Esmee , ça suffit maintenant!! T'as squatté cette chambre bien assez longtemps. Il est temps que tu te lève .

Un rires sarcastiques m'échappe.

Esmee :
Oh, excuse-moi, grand seigneur. T'es le mafieux le plus respecté, j'oubliais . Maintenant, dégage de ma chambre.

Elyo :
Ma chère, tu devrais apprendre à choisir tes batailles. Je ne pense pas que tu aies compris à qui tu t'adresses.

Je croise les bras croise les bras.

Esmee :
Oh, je sais très bien à qui je parle, Crétin . Un mec qui pense que le monde tourne autour de lui.

Un sourire narquois se dessine sur sont visage.

Elyo :
Le monde ne tourne pas autour de moi, ma chère. Il tourne avec moi.

Un rires sarcastiques s'échappe de nouveaux de ma bouche .

Esmee :
T'es vraiment convaincu de ton propre discours, hein? Ça m'écœure.


Elyo :
Tu ne sais pas dans quoi tu t'engages..Gamine . Ma présence ici n'est pas négociable.


Noir pour moi.. Vairon pour luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant