Chapitre 4

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Cela fesait déjà un bon bout de temps que la jeune femme était réveillée . Recroquevillée sur elle même, les souvenirs refaisaient  surface.

Dalya ~

Me revoilà de nouveau dans << la perdition>>. Depuis 10ans, date de l'horreur, la nuit relâche mes tourments, et mes peurs me taquine. Mon esprit est en convalescence. Toutes les nuits, au programme, des films long métrage dont le casting de basse qualité m'a attribuée le rôle de protagoniste principal. Quelle enfer! Apparition ténébreuse de mon existence sur la rétine de mon misérable esprit au bord de la noyade.

J'suis blessée, perdue, tourmentée, abattu, désespérée, le morale au plus bas. J'ai vraiment touchée le fonds, mon regard ne reflète que le revers de l'image misérable qu'est ma vie.
Je pue le désespoir à plein nez, la dépression m'enveloppe comme une deuxième peau.
Ma vie n'est qu'un putain d'enfer.

Qui aurait cru que le vide soit si froid.

~

_ Cara ? Commença l'homme, comment te portes tu ?

_ Je veux m'en aller, je veux rien d'autre, laisser moi parti, répondit-elle tout doucement.

_ Non je regrette, du moins pas tant que je ne sais pas la raison pour laquelle vous avez ainsi enseveli votre identité.

_ Vous êtes un homme puissant, vous n'avez pas besoin de moi pour le savoir, continuez à faire vos recherches, parce que vous n'obtiendrez rien de moi, mon passé est passé et je ne compte pas le ressasser. Finit la jeune femme.

_ C'est pas faux, j'ai pas besoin de vous pour le savoir, c'est juste que je veux l'entendre de votre bouche, j'ai réveillé de vieilles blessures sans faire exprès, et il semblerait qu'elle soit encore béantes. Laissez moi vous soigner Cara, laissez moi réparer mes torts. Excusez moi pour le mal que je vous ai fait.

_ vous ne pouviez pas le savoir, en ce qui concerne mes plaies, ça ne vous concerne pas et j'aimerais bien les régler seul comme je l'ai toujours fait. Clama la jeune femme en se redressant pour faire face à son patron assis sur le canapé de la chambre.

_ Avez vous peur de moi Cara ? Demanda Alejandro .

_ Mentir serait un crime, il émane de vous une aura... Sombre, et j'ai l'impression que vous n'êtes pas qu'un simple homme d'affaires, il y'a plus gros que ça, déduis t'elle en ravalant difficilement sa salive.

_ Hum, peut-être, répond l'homme en la fixant droit dans les yeux.

En réalité, c'était bien plus profond que ça, Alejandro avait sa part hum disons Malsaine.

Du haut de ses 33ans il était homme d'affaires à ses heures perdues mais ce n'était qu'un leurre, c'était tout simplement et bonnement un Mafioso. Il était craint de tous et fesait même trembler les "autorités" du pays, c'était tout simplement un sadique en tout point, dans sa façon sanglante de tuer ceux qui osaient le défier. Ils cassait d'abord chacun de leurs os, leur coupait les mains, les pieds ensuite il les éventraient, puis les vidaient de chacun de leurs organes vitaux, et c'était grâce à la terreur qu'il fesait ressentir à ses enemies qu'il était respecté de tous.

Quand il était en dehors des murs de sa splendide et luxueuse villa, il vivait à fond sa vie tout simplement, la gente féminine était prête à s'étaler rien que pour un clin d'oeil de sa part, que dis-je elles lui barvaient littéralement dessus, mettant tout en œuvre pour avoir ses faveurs, l'une d'entre elle Sarah Duque l'avait tellement supplier de la baiser que s'en était aberrant.
Bon après tout celles qui avaient eu la chance de passer dans son lit ne disaient t'elle pas qu'il était un GOD OF SEXE ?, Elles c'étaient empressées d'aller en parler à leurs copines, se vantant d'avoir coucher avec le patron Sexy de la mafia, ce qui avait créé un véritable déferlement de
femme qui voulait elles aussi expérimenter le faite de se faire " déchirer sexuellement" par Alejandro Morreti.

OBSESSION Où les histoires vivent. Découvrez maintenant