OBSESSION

chapitre 5

Bonjour ou bonsoir tout le monde, excusez moi de n'avoir pas poster de chapitre, j'suis malade actuellement 🥺, mais maintenant ya du mieux, je vous reviens donc avec ce chapitre qui j'espère vous plaira, excellente lecture à tous et à toutes, bisous 💋.

~

_ Je souris à ma future femme, est ce mal ?

_ Hahaha, très drôle, ria t'elle, mais son rire s'estompa quand elle vit qu'il était très sérieux vu l'expression qu'affichait ses traits.

_ S'il vous plaît dites moi que c'est une blague, pitié, supplia t-elle.

_ Non désolé mais j'étais très sérieux.
Épousez moi Dalya. Declara l'homme.

_ Hein!, Vous avez perdu la tête, c'est hors de question , vous êtes un malade et pour quelle raison stupide  est ce que je devrais me plier à votre volonté, hein ?

_ Tout simplement parce que je le veux, articula l'homme froidement.

_ C'est stupide parce que vous ne m'aimez pas et moi non plus, en plus de cela je.. je suis trop jeune pour me marier, epuis vous êtes vieux, voilà c'est tout. Clama t-elle.

_ Pour ce qui est de l'amour, laissons le temps nous faire savoir les choses, et pour votre âge, sachez que cela m'indiffère, j'en ai rien à battre, je vous le demande simplement alors acceptez Dalya ne me poussez pas à prendre une décision radicale qui sera loin de vous plaire. Dit t'il sur un ton plus que glacial.

Dalya sentir alors un terrible frisson lui traverser la colonne vertébrale.
Cet homme avait une sorte d'aura... Diabolique qui l'enveloppait, et cela lui donnait la chaire de poule à chaque fois qu'il se trouvait dans les parages. Mais il était absolument hors de question qu'elle se plie à sa volonté.

Non elle ne céderait pas à cet homme qui malgré tout la troublait plus qu'elle ne voulait admettre.

_ C'est hors de question que je me lie à vous, vous n'êtes pas mon d'hommes de toute façon.

_ Petite menteuse, vous bégaiez à chaque fois que vous m'avez en face de vous, sans compter le nombre incalculable de fois où votre visage s'est peint de ce rouge qui vous montais au joues que même votre Mélanine ne pouvait cacher. Si vous n'étiez pas attirer par moi, vous ne serez plus encore dans cette villa, vous serez déjà entrain de fuir loin de moi. Termina Alejandro fièrement.

_ Comment fuir alors que je suis sans cesse sous surveillance ?, Vous pouvez me le dire ? S'énerva t'elle. Epuis de vous a moi qu'est ce que j'ai a y gagner moi ? Questionna t-elle.

_ La sécurité dont vous avez toujours rêvée. Répondit t'il.

_ C'est vraiment odieux et grotesque comme proposition, vous êtes vraiment inconscient monsieur.

_ Inconscient ?, Qu'est ce que l'inconscience mademoiselle, je vous prie éclairer moi. Declara t'il sensuellement.

Putain qu'est-ce qu'il était beau, s'il était moche comme un poux ça aurait été plus simple de lui résister, il était tellement charismatique et sexy, ohhhh oui il était à tomber, elle sentit alors sa culotte s'humidifier.
Elle eu alors honte d'être excité dans un moment pareil. Elle ne comprenais pas pourquoi son corps réagissait ainsi, tout d'un coup. Elle rasembla les dernières brin de force qu'il lui restait  afin de lui répondre d'une voie peux assurée.

_ Arrêté de jouer avec mes nerfs. Dit-elle en peinant à soutenir son regard et à cacher les rougeurs qui gagnait de l'ampleur sur son visage.

_ Qu'est-ce qui ce passe Cara, vous semblez... Toutes choses, est ce moi qui suis à l'origine de cela.

_ Non pas du tout, balbutia t'elle.

_ Mentir ne vous servira à rien ma très chère Dalya, maintenant mangez et reposez vous bien, car ce soir les choses risque de prendre une tournure surprenante. Finit-il en s'en allant, laissant ainsi le mystère planer.

~

Elle n'avait même pas eu le temps de le contredire qu'il s'en était déjà allé d'un pars bourru. C'est donc avec la peur au ventre qu'elle s'était réfugié dans la bibliothèque de la villa afin de passer le temps. Quant elle Posa enfin les yeux sur l'horloge au mur, elle lu quinze heures trente, il lui restait donc quatre heures et demie pour faire le dîner et s'apprêter.
Putain jura t-elle, le temps était vraiment serré pour tout faire, sans perdre plus de temps elle posa le bouquin qu'elle avait dans les mains sur la petite table et s'engouffra dans la cuisine.

Elle fit des entrées assez légères, des lasagnes en plat de résistance, et un magnifique gâteau au chocolat en dessert, puis elle mis des bouteilles de vin et de champagne au réfrigérateur.

Elle se hâta ensuite de mettre la table, parce qu'il lui restait moins de quarante minutes pour s'apprêter et descendre les rejoindre.
Elle prit une douche bien chaude afin d'enlever la sueur sur sa peau, elle se sécha puis sortie de la salle de bain. C'est toute stupéfaite qu'elle vit que quelqu'un avait posé une magnifique robe de soirée sur son lit. Une robe rouge au décolleté raisonnable, cintrée tout le long du corps, avec une fente débutante du milieu de la cuisse jusqu'au bas. Elle était tout simplement ma-gni-fique. Dalya s'avança vers celle ci sans toutefois oser la toucher, parce qu'elle craignait qu'elle n'est pas le même résultat magnifique une fois qu'elle l'aurais enfilée.

_ Mets là Cara, elle t'irait à merveille, souffla une voie aux intonations rauque.

Elle posa une main sur son cœur en étouffant le cris qui avait voulu s'échapper de sa gorge.

_ Non mais ça va pas la tête, vous m'avez fait horriblement peur, epuis que faites vous ici ?, Questionna la jeune femme. En peinant à soutenir son regard, parce que cet idiot était simplement vertu d'un jogging gris, exposants son incroyable musculature.

1 mètre quatre vingt quinze de puissance et de hauteur, de charme, de virilité et elle en passait. Une énorme bouffé de charleur lui ravageait le corps. Putain qu'il était beau. Tout d'un coup elle l'entendit se rapprocher lentement d'elle, elle leva précipitamment la tête et croisa deux iris gris la scruter très intensément , l'homme se continua de se rapprocher d'elle jusqu'à ce qu'il puisse discerner chaque traits de son sublime visages. Et là sans plus attendre il se pencha en avant jusqu'à capturer ses lèvres, il en avait ras le bol de lutter contre les pulsions qui l'asommomaient chaque fois qu'il la voyait, tout en elle l'appelait, il enroula ses mains autour des hanches de la jeune femme pour la soumettre à sa volonté. Dans les premières secondes, la jeune femme ne réagissait pas trop sous le choque, mais au fur et à mesure il sentit ses lèvres douces remuer timidement sur les siennes, puis sauvagement elle répondit à son baiser. Elle enroula ses bras autour de sa nuque, il la souleva et elle enroula ses jambes autour de ses hanches. La température était monté d'un cran, le mercure avait explosé, il l'embrassait comme il n'avait jamais embrassé une autre femme auparavant. Les tétons de la jeune femme lui frôlait le torse, un long frisson d'excitation lui traversa tout le corps. Si sa continuait ainsi il risquaient de rater tout deux le dîner. C'est donc à contre cœur et en fesant appel à tous son self control intérieur qu'il coupa le baiser. La jeune femme comme si elle venait de se rendre compte que maintenant de se qui venait de se passer entre eux bondit en arrière pour se libérer de ses puissants bras.

Écarlate de la tête aux pieds, Dalya se retourna afin de fuir l'homme. Comment avait-elle pu céder aussi facilement à.. ses pulsions, comment, et le pire dans tout ça c'est qu'elle n'avait même pas de remords ni de regrets à l'égard de ce qui venait de se passer.

_ Habille toi tesoro, je t'attendrai en bas, il faut que je te présente à certains de mes amis et associés.

Sans plus, il s'en était allé.
La jeune femme se retourna alors et se saisir de la robe afin de l'enfiler.
Elle défit son chignon et passa la brosse dans ses cheveux frisés qui descendaient en cascade jusqu'à atteindre le bas de ses fesses.
Sa peau n'avait pas d'imperfections alors elle ne mis rien sur son visage, à l'aide d'un crayon elle souligna très légèrement ses douces lèvres et y passa un gloss goût framboise. Elle accompagna le tour d'une paire d'escarpins argenté, Dalya se trouvait magnifique dans la glace.

Elle tourna les talons en s'en allant vers la salle à manger, arrivée à celle ci, des paires d'yeux la reluquaient intensément.

Que la partie commence.