Sous ma fenêtre

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La rue s'illumine sous les étoiles de la nuit,
Ouvrant le bal aux écrits de mon récit,
Sur la douceur du piano de listz,
Et du chant de mes rêves qui applaudissent.

Les bâtiments se couvrent d'un manteau nocturne,
Laissant les mortels s'abandonner dans les bras de Saturne,
Plongeant ainsi dans l'océan de l'imagination,
Allant des jolies papillons aux plus tristes des illusions.

La nuit est le repos des âmes fatiguées,
Le temps suspend son envol étoilé,
Et le monde s'endort paisiblement,
Protégé de n'importe quel jugement.

Poésie filanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant